
RECITS
- PHOTOS
: Mois de Septembre 2011
ou
Retour Historique
Vendredi 30 septembre 2011
Rochegut, Chapelle Ste Reine
Longueur
10 Km Dénivelé
246 m
51 marcheurs au
rendez-vous pour cette balade.
Rochegut n'avait jamais
connu une telle effervescence : deux fois dans la
semaine le village avait été envahi par des
randonneurs ...

Nous avons profité de cet après midi ensoleillé pour
admirer notre belle campagne


et saluer nos amis les bêtes ...

Non ce n'est pas une vision ou une photo truquée,
mais bien un lama qui se prélassait dans un enclos.
Si ce n'est pas le Pérou !

Nous sommes également passés devant la chapelle
Sainte Reine toujours fermée. Mais de petits malins
se sont débrouillés pour photographier l'intérieur
de la chapelle. Notre site peut-il prétendre à
l'exclusivité de cette photo ...

La marche se terminais par une grimpette histoire de
mouiller le maillot ...

Texte Mireille
photos Michel Perrier
Mercredi 28 septembre 2011
Rochegut, Malvalette, Chapelle Ste Reine
Longueur
11 Km Dénivelé
385 m
Le record de
participation en randonnée du mercredi a été
amélioré aujourd'hui.
37 marcheurs sont au départ de
Rochegut, et le groupe s'étire dans les premiers
lacets de la descente.

Passage à Malvalette
où l'on admire le coq sur le clocher de l'église.

La ballade continue
en descente avec traversée de route et passage dans
de beaux chemins légèrement ombrés,

rencontres avec des
équidés,

et comme les
ruisseaux étaient à sec, notre Pierrot s'est rabattu
sur le bac de chevaux pour arroser directement ou
avec un sac judicieusement percé ... ouf la
tradition est sauve.

Après le passage près
de la chapelle Ste Reine

puis montée vers Angelard où certains
se reposent en admirant le paysage

avant, en empruntant
de beaux chemins ensoleillés, de revenir à Rochegut

Texte et
photos Guy
Vendredi 23 septembre 2011
Les 2 barrages
Longueur 7 Km
Dénivelé
297 m Notre
randonnée commence par la traversée du barrage de
Soulage. Info pour les nouveaux marcheurs, révision
pour les anciens : Inauguré en 1972, le barrage est
à voutes multiples avec contreforts. Sa profondeur
est de 39 m au mur et sa capacité est de 2 600 000
m3 pour une superficie d'environ 16 hectares. Il est
alimenté par le Gier et le Ban. Situé à 4 km du de
St Chamond. Le barrage est utilisé pour la
production d'eau potable. Du pont on aperçoit un
banc de carpes (avis de Jeannot Bachelard pêcheur et
marcheur) confirmé par Mr Ducert de la Fédération de
Pêche de la Loire « Les poissons photographiés sont
à 100% des Carpes d'un poids moyen d'environ 10 kg.
Elles sont très nombreuses dans ce barrage et elles
aiment se réchauffer au soleil »
.jpg)
Le sentier qui longe la rive est
étroit et sinueux. Bien encadrés par nos guides,
nous prenons la main courante.
.jpg)
Après avoir grimpé, nous dominons
le lit du barrage. Clémentine notre jeune marcheuse
ouvre la le chemin d’un bon pas. Les anciens …
randonneurs tranquilles ferment la marche.
.jpg)
En chemin ou à la pause on «
Croque la pomme »
Pause pomme sur la rive du Banc,
dernier salon où l’on cause avant de monter le
chemin de la Combette qui nous amène au village de
la Valla en Gier. « Oyez les marcheurs » Jean Marc
propose que l’on se sépare en deux groupes. Le
dénivelé est rude, entrainé par notre guide chacun
monte à son rythme.
.jpg)
Après un petit passage sur
la route, nous traversons le village de la Valla qui
s’étend en amont du barrage de Soulages (440m)
jusqu’au Crêt de la Perdrix (1432m), entaillé par
deux vallées du Gier et du Ban, la commune possède
1600 hectares de forêts, autant de sites qui
invitent à d’agréables promenades.
La Valla est marquée par le
personnage de Marcellin Champagnat Vicaire en 1816.
Il y fonde la congrégation des frères maristes en
1817 et siège dans le bâtiment qui abrite l'école
actuelle.
Les deux groupes se retrouvent
pour la traversée du barrage de la Rive aménagé
entre 1866 et 1868 sur le Ban, haut de 47 m, avec
une retenue de 1,5 million de mètres cubes.
.jpg)
Nous bouclons notre randonnée en passant sur l’autre
rive du barrage de Soulage. En contre bas du chemin,
un pont de pierre enjambe le Gier. Un bel édifice,
sur le parapet on découvre une inscription - Gabriel
Simon 1867- qui pour nous, reste malgré plusieurs
recherches, un Célèbre Inconnu. On ne retiendra donc
que 1867 année de l'exposition universelle d'Art et
d'industrie à Paris.
.jpg)
Une pointe d’humour en photos Un
pro de la pêche surveille ses cannes, portable collé
à l’oreille, les affaires ne s’arrêtent donc jamais
! Un satellite espion randonneur aurait-il repéré et
capté notre belle randonnée ensoleillée « Elle est
pas belle la vie ! »
.jpg)
Texte Chantal Photos Chantal - Michel C -
Florent
Mercredi 21 septembre 2011
Les 3 barrages
Longueur
14 Km Dénivelé
690 m
A l’instar des trois
mousquetaires d’Alexandre Dumas qui étaient quatre,
nos trois barrages ne sont que deux !
En effet, le barrage
du Piney n’en est plus un, il est redevenu une
vallée boisée qui a retrouvée son aspect originel,
….ou presque. Seul un mur de béton, vestige d’une
époque industrielle révolue, nous rappelle sa courte
existence.
Le Barrage de La Rive
n’étant plus suffisant pour satisfaire les besoins
en eau de la ville de Saint-Chamond, il fut décidé
de construire en 1953 un deuxième barrage appelé
barrage de Piney. Ce barrage est situé dans la
vallée du Gier sur un sol composé de gneiss et
micaschistes.
En mars 1996 une
brusque montée de la piézométrie (mesure de
compressibilité des liquides) des drains (de plus de
11 m pour le P5) a eu comme conséquence un
déplacement de 7 mm du mur. Pour éviter une pression
excessive, le maître d'ouvrage décida d'abaisser de
4 m le niveau maximal de la retenue. Suite à la
découverte de problèmes de capacité de vidange lors
de crues, il fut décidé de réaliser un évacuateur à
mi-hauteur. Lors du percement du mur, des anomalies
sont découvertes dans le corps et les fondations du
barrage.
Les besoins en eau de
la ville étant moins importants que dans les années
1970 et pour éviter la catastrophe du Barrage de
Malpasset, construit sur le même modèle, il fut
décidé en 2000 l'abandon du barrage par le
percement, à son pied, d'un pertuis dimensionné pour
une crue de période de retour tous les 10 000 ans
!!!!!
Sous le soleil de
septembre, 17 randonneurs ont pris plaisir à
cheminer le long des rives des barrages de Soulages
et Rive et dominer les vallées alentours depuis une
petite route longuement ascendante avant de
redescendre rapidement sur le barrage de Soulages,
notre point de départ.
Un groupe sérieux,
….quelque peu arrosé aux détours d’un bâchât…., mais
sans photographe pour réaliser les clichés
appropriés à notre compte-rendu!!
Malgré tout, 3 (de
portable) + 2 photos ont été retrouvées ... à défaut
de grive .......



Texte et
photos : Dominique
Vendredi 16 septembre 2011
Jasserie Garnier
Les hauts de chaumes
Amis randonneurs, permettez moi
d’écrire ce compte rendu en hommage À René Clavier
Président et fondateur de notre club.
Salut Grand Chef,
Me connaissant depuis longtemps,
tu m’aurais dit d’un air rieur « alors tu l’as
reprend cette plume » Car les péripéties, les photos
de nos randonnées tissent un lien entre nos deux
groupes. C’est aussi le reflet de l’ambiance amicale
et chaleureuse de nos marches que tu as su insuffler
par ta jovialité, ton attention, ton sens du respect
pour tous les marcheurs quelque soit leur niveau.
Notre volonté à tous est de garder cet esprit de
groupe.
Aujourd’hui, nous étions 42
randonneurs emmenés par Jean Marc à suer, grimper
sur les chemins de L’auberge du Garnier, ta dernière
marche à 1362 mètres d’altitude et le refuge qui se
situent sur une estive à moutons.
Arrivée sur le parking, le ciel
est à l’orage …deux trois coups de tonnerre …sans
pluie. Aurais-tu donné le signal du départ ! Sur le
chemin à la demande de notre guide, une minute de
souvenir à ton intention s’est envolée sous les
ailes du silence dans le ciel des hauts plateaux.
Là, où tu as rejoint l’espace infini.

Maintenant je n’en doute pas, tu
me dirais assez de « bla bla » raconte moi la
randonnée et parle nous des Hauts de Chaumes, dans
les montagnes du Haut Forez appelées « montagnes du
matin »
On désigne, en Auvergne et en
Forez, sous le nom de Hautes Chaumes les « croupes »
dénudées s'étendant sur une longueur de 35 km entre
Saint-Anthème et Noirétable, dont le point culminant
est Pierre-sur-Haute 1640 m. Cette immense étendue
est, en majeure partie, recouverte de bruyères dont
les touffes résistantes ne craignent ni la
sécheresse de l'été, ni le gel de l'hiver. Elles se
couvrent, vers la mi-août, de fleurettes serrées,
formant un tapis où se fondent toutes les nuances de
rosé. La gentiane, aux tiges robustes et belles
fleurs jaunes ou bleues, l'arnica présentant les
siennes comme des marguerites aux pétales d'or,
l'œillet sauvage posé comme un papillon au bout de
brins menus y complètent cette flore. On y voit
également, ça et là, des tapis d'airelles indiquant
l'emplacement d'un bois ancien.
Quelques arbustes égarés : saules,
trembles, peupliers, bouleaux, pins aux troncs
tordus par le vent, genévriers éternellement verts,
rompent, de temps en temps la monotonie du paysage
sans lui enlever toutefois son caractère désertique.

Un peu de fraîcheur, nous voici
sur les hauts plateaux où des troupeaux de montons
sont en estive Certains endroits herbacés sont
entretenus par une activité pastorale permettant le
mélange de graminées.


Nos guides consultent cartes et
panneaux indicateurs … par ici ou par là …Pierrot le
Farceur est sérieux. Pas de bachat, mijote-t-il
quelques facéties pour une prochaine marche !

La lande, étage subalpin, est
parsemée de tourbières d'une riche diversité
floristique. Les sphaignes, éponges des tourbières,
forment de petites nappes colorées jaune-vert.

En file indienne, ici pas de «
pieds agiles », nous cherchons notre passage pour ne
pas s’enfoncer dans les trous spongieux. Dominique
ferme la marche, tout le monde est passé.

Un cours passage dans les sous
bois, où sommes-nous ? Une dernière vérification,
j’imagine ton sourire en coin. Mais n’as tu pas fais
quelques variantes !

Sur le chemin du retour, nous
croisons des ramasseurs de champignons… Peu après,
sur le talus en lisière de bois, une de nos
marcheuses originaire du Périgord, c’est tout dire !
trouve de beaux bolets. Je me souviens que tu
faisais également de belles cueillettes.

En fait, tout te passionnait la
nature, le chant, la comédie. Metteur en scène d’une
troupe de théâtre amateurs tu avais su conseiller,
écouter, partager. Devenu guide avec ce même
charisme, tu avais troqué « le Brigadier » bâton des
trois coups pour celui du randonneur et retrouver
une autre belle troupe. On connaissait ton franc
parlé, celui des mots qui sonnent juste et vrai.
Aussi, pour terminer le récit de cette randonnée, je
te dédie cet extrait d’un poème de M. Bullot «
Langage » Les mots de la rue sont des mots biens
pesés Qui d’un éclat de rire disent la vérité… Les
mots sentent le fer le sang et la sueur… Les mots
sont une larme un rire une colère. Les Nôtres pour
Toi sont Randonnées Souvenirs Amitié.
Txete Chantal Photos Chantal–
Michel P
Mercredi 14 septembre 2011
Les Jasseries du haut Forez
Longueur
8 Km Dénivelé
248 m
18 randonneurs dont
un nouvel arrivant, au départ de la jasserie Garnier
(alt. 1340m) dans un épais brouillard

après quelques centaines de mètres une halte pour
une minute de silence en hommage à
René
CLAVIER,
Président et fondateur du Club
décédé le 15 septembre 2010, à l'endroit où ses cendres
ont été dispersées.
.JPG)
Nous reprenons
ensuite le parcours réduit, avec une
visibilité faible qui nous empêche de voir les
jasseries de l'Oule mais nous pouvons admirer en passant (pour
ceux qui ont la vue perçante) des animaux
fantomatiques

des silhouettes
d'arbres

des arbres sculptés
par les vents

enfin nous devinons
puis apercevons l'oratoire (1420m) qui nous permet de faire
le point.

Une trouée avec un
soleil timide nous permet de voir les jasseries des
Grands Chars

avant de plonger
après les Jasseries Renat vers le ruisseau de Pierre
Brune (1220m)

puis de remonter par
les bois de l'Oule vers la Jasserie Garnier où le soleil
commence à poindre.

et dans la plaine le soleil brillait de tous ses
feux.................
Texte : Pierre B et Guy
Photos : Guy
Vendredi 09 septembre 2011
St Bonnet le
Château voie ferrée, bisons
Longueur
10,5 Km Dénivelé
288 m
38 marcheurs pour cette randonnée de
reprise. Le temps était ensoleillé et la température
idéale pour la marche. Départ de ZI
la Gravoux, on suit l'ancienne voie ferrée jusqu'à
l'ancienne gare de Valinches, puis un peu de route
jusqu'au chateau de Valinches.

Ensuite passage aux villages de Nurols et le Crozet
, ou nous aurions dû voir les bisons mais ils
étaient encore absents de leur enclos.

retour par les hameaux des Etables et Le Cros Forêt.

Texte Pierre B
Photos : personne n'ayant pris de photo vendredi
j'ai illustré avec des photos de mercredi 07
Guy
Mercredi 07 septembre 2011
St Bonnet le
Château voie ferrée, bisons
Longueur
12 Km Dénivelé
371 m
Nous étions 25 au
départ dont deux nouvelles marcheuses mais sans les
Pierrot (ça fait tout drôle).
Allure sage et pentes raisonnables
pour cette marche de reprise, merci à ceux qui l'ont
tracée.

avec quand même une
traversée du Bonsonnet où Dominique s'est dévoué
pour essayer de baptiser les nouvelles recrues.

Même si le temps fut
parfois menaçant, le soleil a été présent
majoritairement et les capes de pluie sont restées
au fonds des sacs.

Nous avons pu admirer
en chemin un superbe champignon

un joli puits
désaffecté,

Par contre les bisons
n'étaient pas encore rentrés de leurs vacances dans
le far-west

par contre nous avons
rencontré une poule et un cochon équipés de la TNT
satellite

Alors à bientôt sur
nos chemins pour marcher, tchatcher et sourire
texte et photos Guy
un CLIC pour
:
Retour historique
haut de page |