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    RECITS - PHOTOS : Mois d'octobre 2011 ou Retour Historique


Vendredi 28 octobre 2011

Le Guizay, Barrage de l'Ondenon Longueur 7 Km  Dénivelé 254 m

28 marcheurs malgré une météo peu encourageante avant le départ.

Départ du parking près de la table d'orientation et un coup d'œil vers Saint Etienne observer la "grande rue".

Mais qui a eu cette idée d'orienter la ville Nord - Sud ?

C'est l'oeuvre de Dalgabio. C'est à la période révolutionnaire que furent posées les bases du développement de la première  ville industrielle de France (à l'époque) car la ville avait acheté les propriétés en centre ville ce qui permettait d'envisager de tracer un nouvel axe Nord-Sud Paris-Roanne-Annonay-Méditerranée futur grande rue. Le plan de 1792,  établi par l'architecte Pierre-Antoine Dalgabio est le plan d'urbanisme du Saint-Etienne "moderne". Il n'hésita pas à faire passer la voie principale de ce nouvel axe Paris Méditerranée à travers les bâtiments des propriétés religieuses acquises par la ville. Le nouveau tracé de la route d'Annonay est dans le prolongement de la route de Roanne. Il faut cependant attendre 1825 pour que soit réalisé la jonction entre les deux par la rue  Gambetta. C'est le Haussmann des Gagas et on lui pardonne d'avoir fait un peu étroit puisque dans Général Foy on ne compte que 11m de mur à mur.

Après le départ de la table d'orientation à proximité de l'émetteur du Guizay passage au Font de l'Ecuelle puis on continue la descente jusqu'au barrage de l'Ondenon.

Encore un peu d'histoire pour faire plaisir à Chantal empêchée de venir aujourd'hui : Le Barrage de l'Ondenon est situé sur la commune de la Ricamarie. D'une capacité de 400 000 m3, la retenue est opérationnelle en 1904 après 3 ans de travaux. Son eau présente une grande limpidité, fruit d'efforts menés par la collectivité en vue de préserver cet espace fragile. Actions ayant permis son classement Natura 2000. Les normes sanitaires européennes oblige au début des années 2000 à en abandonner l'exploitation en eau d'alimentation pour la Ricamarie.

 

 

La remontée par la vallée de l'Ondenon parée de ses couleurs d'automne est agréable.

La remontée vers le village du Guizay permet d'admirer un paysage d'automne avec la remontée de l'humidité constituant les futurs nuages.

Texte et photos Pierre B, Guy, Joëlle  J, Michel Ch


Mercredi 19 octobre 2011

Le Guizay, Barrage de l'Ondenon Longueur 9,5 Km  Dénivelé 364 m

32 marcheurs pour cette randonnée  sous un soleil et une température encore printaniers.

Stationnement au parking près de la table d'orientation et un coup d'œil vers l'agglomération de Saint Etienne car c'est toujours un plaisir d'observer la "grande rue" (ligne droite de 6 à 9 Km selon les sources qui pourra me donner la réponse exacte ?), traversant tout Saint-Étienne du quartier de Bellevue à la Terrasse elle change plusieurs de nom : Docteurs Charcot, 11 novembre, Gambetta, Général Foy, Président Wilson, Charles de Gaulle puis Bergson pour arriver à la Terrasse.

En regardant bien on repère quelques lieux emblématiques de Saint Etienne

départ effectif de la table d'orientation à proximité de l'émetteur du Guizay passage au Font de l'Ecuelle puis aux portes de la Ricamarie,

avec un clin d'œil au passé stéphanois en admirant le puits de mine de la Ricamarie

un peu de montée sur chemin, bords de route avant la descente vers la vallée de l'Ondenon qui devient l'Ondaine en traversant la Ric, bele féminisation pour un ruisseau qui devient rivière.

une dernière côte 

avant d'admirer le plan d'eau du barrage revêtu de ses plus beaux atours

Nous remontons la vallée de l'Ondenon agréable avec son habit d'automne

La pause pomme au soleil a duré un peu plus que de coutume, certains en profitèrent pour goûter la poire amenée par Georgette.

en admirant les effets du soleil sur une plantation de pins

retour par un joli chemin

puis vers le village du Guizay d'où l'on aperçoit le barrage de l'Ondenon.

Texte et photos Pierre B. et Guy


Vendredi 21 octobre 2011

St Victor - La Tour Philippe  Longueur 9,5 Km  Dénivelé 354 m

« La tour prend garde » Souvenez vous Messire Guillaume de Chambles, c’est à cette heure de l’après-midi que montiez au sommet de la tour avec votre fille Flore et votre frère Falconet, Porte Ecusson du Comte du Forez. En automne à cette heure du jour, la vue y était fantastique. La nature semblait avoir trouvé une certaine harmonie. Vous aimiez porter votre regard sur l’eau scintillante du Fleuve Loire, ses méandres vous fascinaient. De notre promontoire on apercevait la presqu'île du Châtelet, les Camaldules. Fort contraste entre la terre sauvage, rugueuse et la quiétude de cette étendue d'eau

Face à nous, surplombant les Gorges de la Loire, et du Lizeron, vous contempliez St Victor. Typiquement médiéval, le bourg qui se fortifia autour du château pendant la guerre de cent ans, vous charmait avec ses petites ruelles, son presbytère, ses maisons de passementiers. Vous vous rendiez quelques fois au château, propriété du Comte du Forez. Vous visitiez l’église romane à colonnes et la chapelle gothique.

Par temps de sécheresse, vous étiez soucieux du niveau de votre Loire. Loin de vous doutez qu’un jour le Barrage de Grangent submergerait ces lieux qui ne seraient visibles qu’après une baisse d’eau de celui-ci.

 

Parfois vous me disiez « apercevez ces manants besace au dos, appuyés sur leur bâton, qui grimpent les chemins escarpés et caillouteux qui conduisent aux Habiellés. Venus de différents hameaux certains se retrouvaient en chemin.

Pour se reprendre, ils faisaient de courtes haltes. Puis repartaient seul ou en groupe. Se rendant à Boulain, ils empruntaient les sentes des bois recouvertes d’un tapis de feuilles mortes et de bogues de châtaignes. Des siècles plus tard des randonneurs suivront leurs traces.

Messire Guillaume me parlait de ses vergers, des troupeaux de son fief. Des chèvres, les roves race rare, aux superbes cornes torsadées, qui donnent peu de lait mais fort bon.

Il se rendait à cheval, au petit hameau de Trémas. Il aimait particulièrement une girouette représentant une scène de chasse à courre ainsi que l’œuvre d’un drôle, des volatiles qu’il avait aperçus dans un pré.

A proximité de la route de la forêt des cèdres, six siècles plus tard s’élèvera la Tour Philippe. Ancien rendez-vous de chasse, aujourd’hui restauré et privé. Ici pas de pont levis ni douves pour repousser l’envahisseur, mais une barrière de sécurité qui n’arrête pas les marcheurs ni un survol aérien (Vue du ciel photo Guy )

Lorsque sonnait l’angélus la lumière déclinait, le paysage s’embrumait. Vous vous adressiez à Flore et Falconet «partout où vous irez conserver dans votre esprit la beauté de ces lieux. Demain nous monterons sur le rocher du plateau de la lande pour contempler la magnificence du paysage. Nous apercevrons le méandre des Révotes, St Victor Sur Loire, le plateau des Condamines, la presqu’ile du Chatelet, dominant la Loire notre tour et le château d’Essalois »

Avant de regagner vos appartements, mélancolique, vous nous confiez vos inquiétudes «Quel bel automne, qu’adviendra- t- il de ce paysage, notre tour traversera- t- elle les siècles ? » Bien que n’en n’étant pas certain moi-même, en fidèle Maître de ronde, je vous répondais « Messire, la sagesse des hommes saura reconnaître la beauté de ces lieux et conserver votre tour pour gage des Gorges de votre chère Loire ».

Vous me quittiez quelque peu rassuré. Finissant alors mon chemin de ronde, j’appelais la relève « La tour prend garde »

Texte :  Chantal         Photos : Chantal - Noelle Jourjon - Guy - Michel Chantre - Michel Perrier - Pierrot Bouchet


Mercredi 19 octobre 2011

Randonnée annulée pour cause météorologique


Vendredi 14 octobre 2011

St Paul en Cornillon La femme morte  Longueur 8 Km  Dénivelé 410 m

Bienvenue sur le VOL PASSEPORT NATURE avec à son bord 51 randonneurs

Vue aérienne de la piste d’envol

Viaduc de Cornillon ou les Neuf Ponts

Quelques précisions culturelles avant le décollage

Le Viaduc a été construit pour la ligne St Etienne-Le Puy- St Georges d'Aurac. La section Firminy-Pont de Lignon a été mise en service le 9/11/1863. De son véritable nom : Viaduc de Cornillon il est en courbe de 340 mètres de rayon, il fait 254 mètres de long et comporte 9 arches de 10 mètres d'ouvertures. Il est sur le ruisseau du Brunet. (Information Monsieur G. Vachez Responsable Histoire et Patrimoine des Amis du Rail du Forez) Le Pont du Pertuiset se situe sur la commune d'Unieux. Son véritable nom est le Pont du bicentenaire (Pertuiset étant le nom du lieu-dit situé à quelques mètres du pont).

 

File d’attente à l’embarquement - poussé de bâtons - décollage

Le commandant de bord et son équipage vous souhaite un agréable vol et vous laisse admirer le paysage

Un bel été indien lumineux et flamboyant - La nature a repris ses pinceaux

Après avoir pris un peu d’altitude une courte escale à l’aéroport de Pause Pomme Georgette, une fidèle passagère de Passeport nature, donne une topette de « Prune » au Stewart. Dégustation offerte à tous les passagers y compris à certains volontairement isolés, des dissidents n’est ce pas Jean Baptiste! Jean Marc, Commandant de bord, est interdit de toutes boissons alcoolisées

Vitesse de croisière, nous voici en approche du Château de Cornillon

Cornillon proviendrait du Celte " Corn (rocher) et Ouel (élevé) ou Ouille (de la vallée). C'est à partir du XIème siècle que l'on peut établir l'existence d'une construction en pierre qui a épousé au fur et à mesure de son développement, les contours du rocher. Jean-Jacques Grimod de Bénéon fut le dernier Baron de Cornillon. Au cours des siècles le château connut différents propriétaires. En 1996, Monsieur Champavère, un enfant du pays, s’en porte acquéreur, vide de son contenu. Depuis, de vastes projets de restauration ont été engagés, réhabilitation du parc, restauration des communs et du pigeonnier, reconstruction des remparts. Le clocher est inscrit aux Monuments Historiques L’ancienne chapelle du château (baronnie de Cornillon) recèle un nombre important d’objets et de mobiliers classés. Une visite s’impose, avec un droit de passage pour rentrer dans l’enceinte du château, une simple obole suffit !

Mais Il est temps de redécoller, après avoir dépassé les balises du Chemin de Loye, du chemin de la croix du poirier ornées d’un blason, au Girard nous survolons la balise Champignon surmontée de la sorcière Hélice Au Vent et SuperCanard

Une fin de vol ensoleillée, les prières à Notre Dame des Randonneurs ont fait effet sur le groupe des passagers

malgré à l'approche des neuf ponts quelques turbulences. Les toilettes n’étant plus ouvertes et ne voulant pas utiliser leur gourde, certains passagers ont dû attendre l’atterrissage pour parer au plus pressé.

La Compagnie Passeport Nature espère que vous avez apprécié la randonnée et remercie tout particulièrement les photographes pour leurs très belles prises de vue. A très bientôt pour un prochain vol dans le Forez.

Texte Chantal    Photos Chantal - Guy - Florent - Jeannot - Pierrot - les 3 Michel


Mercredi 12 octobre 2011

St Paul en Cornillon - Montauroux Longueur 11 Km  Dénivelé 470 m

Une randonnée dans un endroit que nous n'avions pas encore visité. Merci à la commission rando pour cette nouveauté.

2 villages St Paul et Cornillon se sont réunis pour former la commune de St Paul en Cornillon ( ça nous rappelle l'histoire d'une commune proche équipée de deux ponts).

Brumeux au départ de St Rambert le ciel s'est éclairci en allant vers le Pertuiset. C'est par un temps ensoleillé et une température estivale que 31 randonneurs prennent le départ aux 9 Ponts (en réalité viaduc à 9 arches).

La traversée de la départementale nous amène sur la presque-ile de St Paul où notre bien aimé président nous prévient que nous allons en baver car la montée de "Fyn" est très dure. Nous avions été prévenus par les croix aperçues sur le chemin du départ.

La traversée de la presqu'ile, malgré le danger représenté par un escalier ayant déjà fortement contribuer à nourrir une colonie de vers, est un enchantement pour les yeux et puis .................. ça ne monte pas encore.

Ensuite vint la montée vers la vierge où une première pose permis à certains de reprendre leur souffle.

La suite de la montée du mont Fyn est effectivement très pentue et parfois technique. Heureusement la galanterie des R2R  n'est pas une légende.

Le début de la longue descente jusqu'à la Soulière nous permet d'admirer le paysage

Puis en passant par Gangue, la Femme Morte, Montauroux, La Rivoire et la Croix du Poirier par une succession de montées et descentes légères

nous pouvons voir l'illustration de l'inventaire de Jacques Prévert : des champignons non comestibles, une voiture perdue ?, une brouette bien usagée, une ruche en état de marche, un blason, un puits et une cabane dont le linteau est décoré de deux têtes de chenets

Le retour par Cornillon nous permet d'admirer Chambles dans le lointain

et d'admirer la lumière sur la Loire  la presqu'ile derrière les 9 ponts.

 

Texte et photos Guy et Pierre Bouchet


Vendredi 07 octobre 2011

Rochetaillée le Breuil  Longueur 9 Km  Dénivelé 333 m

Je suis sur les traces du « Gang des Randonneurs des 2 rives» qui ne se déplace qu’en bande. Organisant un covoiturage pour se rendre sur le lieu de leur marche. Leur nombre varie en fonction de leurs sorties, 47 randonneurs ce vendredi. Après les avoir pris en filature, traversé la région stéphanoise, je les aperçois sur le parking du château de Rochetaillée. A noter qu’il s’agit là de leur 2ème rendez vous sur ce site, après celui de mai en pleine canicule. Le temps est à la pluie mais rien ne les arrête, ils se déplacent en toute saison.

Situons le lieu : Le château féodal de Rochetaillée, construit sur un rognon de quartz était une véritable forteresse dont la date exacte de fondation reste inconnue. Il a toutefois été mentionné pour la première fois en 1 173. La construction du château n'est pas un hasard car le précipice le rendait inaccessible du coté Nord. A la base, le bâtiment était composé de quatre tours. Au 15ème siècle, les seigneurs créent un blason propre au village. Les derniers travaux de restauration ont eu lieu en 1998. Le château est à la "limite du partage des eaux d'Europe" son toit "versait l'eau de pluie dans les 2 mers " car le Janon est un affluent du Rhône et le Furan se jette dans la Loire (le Furan coule du côté Sud du village et se perd dans l'Océan, le Janon du côté Nord aboutit vers la Méditerranée).

Les randonneurs sont entrainés sur des chemins escarpés et caillouteux par leur guide Pierrot le Pontrambertois facilement repérable avec sa carte IGN en main et GPS. Son complice Jean Marc le Bonsonnais ainsi que Pierrot Le farceur réputé pour ses jets de bachat sont absents. Quand aux chefs de Gang, Dominique et Florent ils se fondent dans le groupe pour ne pas se faire repérer.

Pas facile de les filer, les sous bois débroussaillés n’offrent aucun repli d’autant qu’un tracteur débarde de belles coupes. Mais Les chemins sont boueux. Je repère facilement leurs traces.

A l’arrière, leurs indics les 3 Michel, photographes traqueurs d’images les couvrent. Je les ai en point de mire. A la demande de Chantal la rédactrice, l’un d’entre eux photographie une vieille bâtisse. Jolie photo, belle planque « Fermons la fenêtre et laissons les volets clos ».

Personne ne m’a repéré, certains avancent d’un bon pas, d’autres papotent une marcheuse annonce avec joie une future naissance ou rêvent en pleine nature. Bizarre, Opération camouflage, équipé de blousons et de capes de pluie un petit groupe entoure l’homme au parapluie… un Chef Inconnu ? Que complotent-ils ?

Sur le plateau altitude 1080 m température 10°, le gang s’arrête pour leur traditionnelle pause Pomme. Impossible de les prendre en faute : respect de la nature, zen attitude, partage de friandise la pâte de coing, consommation avec modération de la petite verveine artisanale sur un sucre « le canard », pendant que Jeanine Du Jardin photographie Chantal la Rédactrice avec Gisèle l’Instit.

Puis, Les randonneurs repartent d’un bon pas. Les doigts engourdis par le froid se crispent sur les bâtons. Je reste sur mes gardes pour ne pas me faire repérer, car J’ai constaté que certaines marcheuses sont expertes pour trouver des champignons. A l’affut l’œil aiguisé, Maryline a découvert des cèpes en lisière de bois

Retour sur Rochetaillée dans la grisaille. Rien d’anormal, à part quelques belles amanites qui attirent le regard. On compte un peu plus de 550 espèces, des plus toxiques aux plus savoureuses. En France, Il existe environ une soixantaine d'espèces et sous espèces. Tout à coup des randonneurs grimpent précipitamment sur le talus. Auraient-ils trouvé leur cible ? Les photographes mitraillent … un cheval en cape (lui aussi) à pois. Du jamais vu, Ils ont trouvé le célèbre Cheval Coccinelle, qui comme une star prend la pause.

De retour sur le parking, J’arrête ma surveillance. Je ne les prendrai jamais en flagrant délit d’épuisement ou de mauvaise humeur. Car tous savent doser leurs efforts dans la joie, la découverte et le plaisir de marcher. Je dois reconnaître qu’ils forment un « sacré Gang ». Aussi, moi le satellite randonneur, je rends ma carte d’espion pour rester définitivement un traceur de randonnée. Un simple fait divers me direz-vous.

Je vous répondrai simplement : une randonnée de début d’automne.

 

Texte Chantal                 Photos - Chantal - Jeanine - Florent - Jeannot - les 3 Michel


Mercredi 05 octobre 2011

Rochetaillée les barrages  Longueur 11 Km  Dénivelé 520 m

Départ du parking derrière le château de Rochetaillée pour les 27 marcheurs par un temps superbe et une température agréable.

Début de la montée en suivant le GR42 jusqu'à 1089m

puis après un apssage de bois, de pré à vache pour cause de chemin envahi par la végétation nous traversons la D8 qui mène au Bessat en admirant les panorama autour de la Barbanche.

et entamons une longue descente

qui nous amène au barrage du Pas de Riot sur le Furan, 1,3 million de m3 de capacité, 856 m d'altitude, terminé en 1873 pour compléter la capacité de celui du Gouffre d'Enfer devenu trop petit. Il est aujourd'hui le seul en activité.

Après la pose pomme nous repartons par le chemin en lacet puis le long du chenal d'évacuation avec le viaduc, les anciennes écluses qui nous amène au barrage du Gouffre d'Enfer mis en eau en 1867 puis doublé par le barrage du Pas de Riot et qui depuis  2003 est vide et ne sert qu'à écrêter les crues pour éviter à St Etienne d'être inondée

Un petite grimpette pour certain sur la "montagne" de la Roche Corbière dite dent du diable, pour admirer le paysage  et regarder les plus fatigués restés en bas.

Le chemin du retour nous permet d'admirer les ouvrages annexes dont la maison des Ponts et Chaussées

Après la descente par un chemin fort agréable, nous remontons vers Rochetaillée avec pour finir quelques escaliers.

 

Texte et photos Guy


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