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    RECITS - PHOTOS : mois de novembre 2011 ou Retour Historique


Mercredi 30 novembre 2011

Gland, Milamand   Longueur 11 Km  Dénivelé 460 m

Ce ne sont pas 30 enfants, comme l’indique le panneau, mais 32 « gamins » (il n’y a pas d’âge pour ça) qui, incités par le lieu de départ, glandèrent en descendant vers la Loire

ils suivirent les plus subtils des panneaux indicateurs

constatèrent la différence de niveau de la Loire entre le passage au mois d’avril et maintenant

et admirèrent dans cette descente à travers les bois de la Roche :

• une fourmilière au pied de laquelle « les chefs » firent une longue réunion

• une mignonne musaraigne au chaud dans la main de Dominique avant d’être relâchée

• le pont du Pertuiset entre les arbres au loin

• et les reflets de St Paul dans la Loire

Mais qu’est-il arrivé à Monique ?

prise par son élan elle est descendue jusqu’à la berge et a rejoint Milamand fin de la descente et lieu habituel de la non moins habituelle pause « pomme ».

Elle fut courte car le panorama de la plage de Milamand

n’incite pas au tourisme et qu’après avoir glandé, discuté et s’être reposé il faut bien attaquer le plat de résistance soit les 460 m de dénivelé pour monter avec nos chaussures et lacets à glands. La cadence était aussi rapide qu’à la descente c'est-à-dire lente car la pente est plus raide que les articulations de nos marcheurs

le temps passe et en cette fin du mois de novembre la lumière baisse rapidement et certains en ont même des hallucinations

la fin de la randonnée à la frontale permis d’admirer

• le string inversé du président

• la lune

• la brume vespérale

• les illuminations avant l’heure avant d’arriver au parking de Gland illuminé par un camion de passage.

 

Quelle belle montée ce fut là.                                        A refaire au printemps, mais ……………de jour

A bientôt sur nos chemins.

 

Texte : Guy                     Photos : Guy, Michel Peyr., Pierre B.

 

 

 


Vendredi 25 novembre 2011

Caloire   Longueur 9 Km  Dénivelé 380 m

J’ai pris ma boge, mes groles, les bastous, J’ai laissé ma daronne baronter et j’suis parti avec les vadrouilleurs. J’avais zieuté le programme : un viron à caloire un p'tit tour en France, le Bois Du Four avec une débaroulade de 380 m. Arrivés à Vareilles hameau de Caloire, nous étions 50 marcheurs. On a fait attention de bien garer nos autos pour pas s’faire embugner. Pendant que les hommes causaient tranquillement, les gambelles s’donnaient des nouvelles de leurs matrus. Puis on a pris le chemin de la Banne, On a aperçu un pompon en compagnie de deux laineux et rencontré un cabot des Pyrénées qu’a pris la pose en faisant son faramelan.

Tout gaillard, on a descendu la côte qui mène aux bords de Loire. Le Michel qui ouvre grand ses quinquets et reluque le paysage a fait de belles photos.

On a longé la rive et là vlà un badabeu qu’a laissé sa canne à pêche dans les vorzines. Y parait que depuis qu’l’eau a baissé on trouve une vraie gandouze.

Enfin bref, après avoir bien débaroullé, on a tiré la patte pour remonter les rapioles sur le chemin de la France et bien guenillé jusqu’à la pause pomme. Nous étions tout mouillé de chaud. Pour nous repapilloter Le Dominique nous a donné un petit gorgeon de vin chaud maison, Le Florent nous a offert ses fameux bonbons et La Denise a pris son galurin qui lui va franc bien.

Passant à la Roche, on a apinché une boutasse avec une pierre de lavoir, un puits, mais comme avait bien crapahuté pour arriver jusque là, La Jacqueline a même dit qu’elle avait les genoux en chamalow ! Personne n’a tourné la roue.

On a pris une coursière, Le Jean Marc nous a emmenés voir un cuchon de pierres appelé la pierre des sacrifices y parait qu’on y sacrifiait des animaux. Une marcheuse a bien voulu mettre la tête sur le billot ! Le Michel a pris la photo mais a pas voulu voir le massacre ! Arrivés là, beausseigne certains étaient à barreau, des vrais suppliciés d’la côte.

 

Pendant ce temps, La rédactrice qui en avait aussi plein les cannes en a profité pour faire quéques photos des alentours sans oublier le Michel agroumillé sur son cuchon.

Enfin, j’te dis pas mon Belet on est revenu par le chemin des Cavettes. Fallait faire attention à pas se casser la margoulette. Le soleil se cachait, pas le temps de jabiasser. Le chemin était humide tapissé de feuilles et les pierres roulaient sous les godillots. Miladeuz, t’aurai pu t’aplater, t’abouser vite fait dans les piales et rentrer tout emaselé.

En arrivant au parking on a vu passer des oies sauvages, moi J’étais tout décubassé, un vrai tamalou. Mais franc content d’avoir pris un bon bol d’air. Fouilla Demain, je m’en vas faire une bonne pranière pour me requinquer. Bon c’est pas tout ça la patronne va m’dire que je rentre à point d’heure. Elle va encore m’passer un ratichon. A un de ces moments mon Belet.

 

Texte : Chantal                    Photos : Chantal – Michel Perrier

 

 


Mercredi 23 novembre 2011

Caloire   Longueur 11,2 Km  Dénivelé 501 m

32 marcheurs se sont regroupés à Vareilles, 534 m d'altitude, pour le départ de cette randonnée pour laquelle après un départ dans la brume frisquette de St Rambert nous espérions voir le soleil nous réchauffer.

Bien que le début de la marche soit en descente certain se sent déjà épuisé et attend le car pour aller ...on ne sait où

Effectivement le soleil vient nous  accompagner sans nous chauffer pour 100m de descente vers la Loire toujours aussi basse,

aussitôt nous attaquons la montée réchauffante et via La France (et oui) et son complexe sportif avec tennis nous continuons par La Roche puis la traversée du bois du Chaumet,

en passant par la Creuse (elle est longue cette rando !) nous admirons des construction détournée de leur usage d'origine et les floraisons printanières malgré le froid

Cette montée avec encore un peu de soleil nous amène à Biesse où de belles cornes saluent notre arrivée. Nous traversons le hameau en jetant un œil aux bâtiments restaurés, pompes et puits parfois fleuri sous la surveillance d'un greffier bien orienté,

A la sortie de  Biesse nouss retrouvons des chemins vallonnés mais .....  dans le brouillard

Il faut lutter contre le froid et à la pause pomme (ou poire !!!) certaine avait certes la banane mais avec de curieux instruments certains mettent tout en œuvre pour trouver un chauffage central

La progression reprend avec de plus en plus de brouillard .............. ou des vues embrumées ?

Le président doit faire preuve d'autorité et demande alors que soit remis à l'honneur la tradition du sacrifice humain il nous dirige alors

vers la pierre du sacrifice. Il essaye de proposer une victime féminine mais devant les réactions de ces dames, la minorité mâle capitule et c'est notre Pierrot qui est sacrifié avec les honneurs.

après cette cérémonie repérant un gui déjà en fleurs certains prennent de l'avance pour les vœux

L'heure avançant (elle aussi avec deux bâtons) la descente, dans un chemin rendu piégeux par les feuilles mortes en tapis, est effectuée en ordre dispersé mais à cadence rapide.

Nous sommes ainsi de retour à l'embarcadère avant la nuit ce qui est peu banal.

 

Texte Guy     Photos : Dominique et Guy


Vendredi 18 novembre 2011

Chevrières  Longueur 9,3Km  Dénivelé 312 m

51 marcheurs dans les monts du Lyonnais, le nom de Chevrières vient de Caprariis (mention au XIe siècle) qui signifie « lieu où on élève les chèvres ». La tradition a dû se perdre, car nous n’avons vu qu’un troupeau de vaches et des chevaux dont « les irish Cob ».

Natif d'Irlande, l’irish cob est connu depuis longtemps comme le compagnon des gens du voyage. Costaud au grand cœur, c’est un cheval sociable, affectueux et très généreux. Doté d'un excellent mental, il est d'un tempérament doux et docile, idéal pour des enfants et les poneys clubs.

Allez en route, pour une randonnée au pays des chevrots et chevrotines, nom des habitants de Chevrières. Une descente à la sortie du village, un petit pont à traverser, une longue montée à travers bois pour nous mettre en jambe. Le souffle court on pousse sur les bâtons.

Un bel après midi sous le ciel bleu. Les dernières fleurs s’offrent aux rayons du soleil et le houx a commencé de se parer pour Noël. Les ramasseurs de champignons n’ont pas failli à leur réputation. Bolets et lactaires délicieux régaleront les connaisseurs. Dominique chanterait-il le « temps des coulemelles » ? de son vrai nom Lépiote élevée. Dans notre région on l’appelle aussi Bague, St Michel.

Tout semble calme et paisible dans ce magnifique paysage.

Pourtant sur le bord des chemins il y a les suppliciés, les torturés aux figures dantesques incrustées, amalgamées dans les troncs d’arbres séculaires, qui se nourrissent de leur sève pour survivre.

Indifférents les marcheurs poursuivent leur chemin d’un bon pas, sans se douter que LUI les attend, les guette. Les hommes ont érigé des croix pour s’en protéger. L’avertissant de leur passage un chien aboie, vite calmé par notre guide. Tandis qu’un Chat siamois Chartreux, bien caché les épie de ses yeux pers.

LUI sait qu’ils approchent. Certains passeront sans le remarquer mais les initiés le reconnaîtront. Sans le savoir les randonneurs ont vu son œuvre. Lors d’une tempête associé au vent, il a ployé, courbé, de jeunes bouleaux. Mais les hommes eux aussi ne saccagent t-ils pas la nature !

Voilà ils L’ont aperçu, Lui le Torve, le Difforme. Foudroyé, son tronc éclaté, noueux, boursoufflé, a connu le Bien et le Mal. Ses ramures sont devenues moignons. Autrefois Géant aux branches altières, aujourd’hui marqué par les décennies, fourchu, l’imagination des hommes le compare au malin, au diable. Toujours vivant en souffre t-il ? Nul ne le saura jamais.

Aussi lorsque la lumière se soumet à l’obscurité, monstre ou démon, il s’endort sous le soleil couchant flamboyant, le soleil de Satan.

Texte : Chantal                     Photos : Chantal - Michel Chantre


Mercredi 16 novembre 2011

Chevrières  Longueur 12 Km  Dénivelé 377 m

Pour se remettre des joies et travaux de la Marche des 2 Rives direction les contreforts des monts du Lyonnais pour une balade autour de Chevrières.

Un peu d'histoire : Chevrières a connu une certaine notoriété dans les siècles passés par l'importance de son château. Cet ancien château fort construit vers 1198 encerclait alors totalement le village notamment jusqu'au lieu-dit "les Tournelles". Détruit en 1465, en représailles, par les troupes du Duc de bourbon, il fut reconstruit en 1520 par Louis II, Mitte de Chevrières. Il ne reste du château aujourd'hui propriété privéée, que deux tours féodales et de belles portes Renaissance (en particulier la porte monumentale encadrée de hautes colonnes à chapiteaux). La porte extérieure du château qui conduit de la place du village aux jardins date aussi du XVIe siècle ; ainsi que la porte latérale qui fait communiquer le château avec l’église.

Pendant la Révolution Française, un habitant de Chevrières, nommé Antoine Crozier, aidé par une armée de paysans dévoués jusqu'au sang à Dieu et au Roi, organisa la protection des nobles et prêtres réfractaires. Cet épisode historique valut à Chevrières le surnom de “petite Vendée".

Une cinquantaine de marcheurs (dont une en essai) ont profité du temps pour suivre le circuit du jour et nous les retrouvons au départ devant l'église de Chevrières.

Nous quittons le village par l'ouest ce qui nous permis d'avoir une belle perspective sur le château et l'église

Après le hameau de Guichard notre balade nous conduit à travers bois et prairies

C'est dans le bois que le reporter de R2RTV armé de son micro et son antenne parabolique réalisa une interview d'un marcheur célèbre en plein effort.

La longue file de randonneurs s'étire dans une descente nous menant au hameau de Staron

et au carrefour de Relave nous découvrons la statue ? de notre Pierrot souriant comme à son habitude

Pour une randonnée de printemps la nature nous gratifie de fleurs éclatantes

Nous faisons la connaissance de superbes chevaux qui après recherches de Michel Peyron sont des Gypsy Vanner, également connu sous le nom de Gypsy Cob et originaires d'Irlande.

La pause pomme, devant un paysage Ideux fut bienvenue et longue et certains en profitèrent pour prendre un peu d'avance au redémarrage.

Après avoir dépassé La Bruyère, les Combelles et lesGranges Neuves, nos ombres s'allongeant de plus en plus, nos guides décidèrent sagement de raccourcir le trajet de retour. Mais après quelques hectomètres notre groupe se retrouva au milieu ...

d'un pré. Heureusement avec l'aide de leurs yeux perçants dans la lumière du soir, d'un sens de l'orientation efficace, nous retrouvons un chemin randonnable

Le retour par Planche Badol et le Ris de Boeuf (ça existe) nous permis d'admirer le paysage baigné de lumières vespérales du plus bel effet

et d'arriver à Chevrières où nous attendait un délicieux pâté aux pommes et autres douceurs, dont la recette n'a pas été divulguée mais qui fut très apprécié. Merci Jean Paul.

Texte : Guy      Photos Michel Peyron et Guy


Vendredi 04 novembre 2011

Ecotay L'Olme  St Just-La Baraillère Randonnée des escargots

Le Château de la Baraillère était autrefois une importante maison forte qui tient son nom d'une famille Barailher ou Barailler qui y vivait au XIVe siècle, aujourd'hui elle est occupée par une entreprise privée.

R2R - 11KM = (6 F + 3 H) …une énigme Des cornes … des traces … des empreintes de pas ….mais bon sang bien sûr 9 escargots randonneurs !

Trois Chefs Escargots randonneurs Pierrot, Jo, Maurice accompagnés de six fidèles marcheuses, point limaces, se retrouvant sur l’embarcadère des randos, changèrent d’itinéraire compte tenu de la météo, préférant le circuit de St Just la Baraillère à celui d’Ecotay. Ils longèrent donc les bords de Loire grossie par les précipitations de la nuit, sans déranger la solitude d’un canard frileux méditant sous la pluie. Aperçurent, sans étonnement, derrière le toit de la verrerie deux cornes géantes d’escargot mutant.

Profitant d’une éclaircie ils firent quelques photos puis continuèrent tranquillement leur chemin.

Aux Asnières, prévoyant certains changèrent de coque. L’escargot écolo fit des pirouettes sous quelques gouttes d’eau. La Loire quant à elle commençait à « rouler »

 

Ils prirent l’ancienne voie ferrée, franchissant joyeusement les barrières.

Du bout de la lorgnette on les vit dans le noir, passer sous le tunnel pour émerger au pied du barrage de Grangent dominé par le château d’Essalois pour s’en aller à la Baraillère, apercevant à travers les gouttes, la presqu’île du châtelet et les calmadules.

 

Descendant de la Baraillière sous une forte pluie, l’Escargot rouge en bonne compagnie, qui avait failli rater le départ et rejoint le groupe in extremis, filait bon train talonné par Petit Gris et l’Ecolo. Les kilomètres défilaient, la pluie tombait, les escargots filaient et la Loire enflait.

Lorsque les neuf escargots randonneurs arrivèrent au pont de St Just, les premières lumières brillaient sous la pluie, la Loire charriait un fort courant. Pierrot le Guide Escargot photographia les marcheuses, point limaces, sur la tour du Pont pour immortaliser leur bravoure et témérité !

Comme le « gang des Randonneurs » rien n’arrête « le clan des Escargots »

Qui vous donne rendez vous le 13 NOVEMBRE pour une belle randonnée on ne doute pas ensoleillée et vous offre un petit Poème « Après la pluie » de Jacques Bouchet notre poète local :

« Quatre gouttes de pluie sur la route s’ennuient, glisse et passe une limace qui s’arrête guillerette. Qui s’assoit et qui boit, goutte à goutte toutes les gouttes…et repart en canard, tout doucement en titubant. »

Un effet canard poire sans doute !!!

Texte : Chantal - photos : Chantal et Pierre B.


Mercredi 02 novembre 2011

Ecotay L'Olme  Longueur 11 Km  Dénivelé 460 m

22 randonneurs au départ de cette marche par un temps d'automne incertain.

Un peu d'histoire : En haut d'un éperon rocheux situé au confluent de deux rivières, le Cotayet et la Chavaran, se trouve le site d'Ecotay dont l'origine vient du premier seigneur du lieu qui était un ... Ecossais d'où le nom initial d'Escotay transformé ensuite en Ecotay.

On y voit les restes du château et de l'église. Le château a d'abord appartenu aux comtes de Forez. Le site comprenait le château des barons d'Écotay et une église construite à l'extérieur pour remplacer la chapelle intérieure devenue trop petite. elle est consacrée à Saint-Étienne en 1217. Elle a été agrandie au 19ème siècle grâce à un don de l'impératrice Eugénie.

La seigneurie d'Écotay passa au XIIIe siècle à la famille de Lavieu puis revint à la famille de Talaru-Chalmazel et par la suite aux de La Rue, de Rivarol et de Meaux. La seigneurie a été transférée au XVIIIe siècle au château de Quérezieux. La famille de Meaux fit don à la commune du site d'Ecotay à la commune en 1982.

Nous démarrons notre circuit en laissant derrière nous ce superbe site très bien entrenu.

A propos saviez vous que les Ecotayens sont traditionnellement surnommés      les coqs.

Plaisir de la marche et de la conversation sur des chemins aux couleurs d'automne, en démarrant par le  bois d'Hatier et la montée vers la côte d'âne, 

qui nous permettent d'admirer en passant : un panorama coloré

et des arbres (ou ce qu'il en reste) qui ont beaucoup vécu

Vers Prassouroux l'averse arrive et nous oblige à enfiler rapidement les parures de pluie (remarquez l'élégance dans le geste)

Heureusement cela dura moins qu'une rose l'espace ... d'un changement de tenue et nous avons admiré les lumières dues au retour (partiel) du soleil

Après la pause pomme la ballade continue sans pluie mais avec une lumière faiblissant. Mais que regarde notre ami Pierre ?

Tout simplement un panorama très coloré malgré le peu de luminosité

Le temps passe vite en marchant et le retour par Celle, s'il ne s'est pas fait à la frontale, nous valut d'admirer le site d'Ecotay éclairé par les projecteurs et autres lampadaires

Alors nous nous souhaitâmes une bonne soirée en nous donnant rendez-vous le 09 pour le balisage de la Marche des 2 Rives.

Texte Guy  photos Pierre B et Guy


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