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    RECITS - PHOTOS : Mois de Novembre 2012 ou Retour Historique

07/11/2012 , 09/11/2012 , 14/11/2012 , 16/11/2012 , 21/11/2012 , 23/11/2012 , 28/11/2012 , 30/11/2012


Mercredi 07 novembre 2012

Périgneux le long du Bonson et le calvaire  Longueur 13,7 Km  Dénivelé positif 310 m

47 R 2 Riens ont profité de cet après midi au ciel azuré pour démarrer de Périgneux à toute allure, la première côte est avalée très rapidement mais ceux qui ont pris soif en route sont déçus (surtout Michel) car le frigo est vide ! 

Le peloton un peu étiré avance à bonne allure sur les sentiers sans toujours prendre le temps d'admirer le paysage,  mené par Monique et Claudie qui elle regardent le point de vue dans la descente vers le Bonson.

Même si cela ne se voit pas sur les photos, les eaux sont "hautes" à cette période. Mais qu'à cela ne tienne Andrée et Claudie déchaussent et rejoignent la rive opposée. Les messieurs rechignant à porter les randonneuses craignant l'eau froide, les guides ( ne voulant peut-être pas se mouiller) suivent l'avis de la majorité qui préfère faire un détour. Et voila Andrée et Claudie traversant dans l'autre sens et rechaussant dans l'herbe fraîche, au moins elles ont montré que ce n'étaient pas elles les poules "mouillées" qui ne veulent pas faire trempette.

Le peloton musarde (ça monte) en profitant de cette variante pour admirer un bachat auquel le plus jeune du groupe n'hésite pas à rendre visite.

Passage à Aboennet pour prendre la direction d'Aboen.

Après une pause qui permet d'admirer la conception écologiste des toits du lavoir, le peloton accélère pour rejoindre Aboen en prenant garde de ne pas tomber dans les panneaux que le groupe n'a pas le temps de lire en détail.

Le temps passe et le soleil descend sur l'horizon. La chenille accélère en quittant Aboen traversé à vive allure mais en posant l'œil sur quelques curiosités locales mais ANTARieures à notre siècle .... (tu l'as dit Dominique ...)

Un peu plus loin un panneau indicateur non référencé incite le peloton a faire attention et donc tout le monde ralentit pour éviter tout accident. Ce ne fut sans doute pas le cas du conducteur de cette Renault et la cabane au fond du jardin s'en souvient encore .............

Après passage au chalet de nécessité et remplissage des gourdes à une pompe newlook, le peloton fonce dans la descente vers le bois

A l'orée du bois une boîte à lettre nous indique la présence d'un célèbre "docteur" ce qui laisse certains dubitatifs. La nuit approche elle aussi à grand pas et notre président enfile son gilet fluo pour signaler le peloton (ne cherchez pas à le voir ainsi accoutré c'est lui qui prend les photos), admirant la trace d'un avion au crépuscule nos 47 randonneurs arrivent dans Périgneux de nuit.

A propos, il était où le calvaire ? Derrière ou dans le gué du Bonson ?

Photos Dominique Texte d'après les indications de Dominique

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Vendredi 09 novembre 2012

Périgneux Saléard Longueur 11 Km  Dénivelé positif 250 m

C’est une maison bleue, adossée à la colline. On y vient à pied. On ne frappe pas. Ceux qui vivent là ont jeté la clé.

On se retrouve ensemble au départ de Périgneux. Tout le monde est là, on s’en va sur les chemins. Au passage des randonneurs, un schtroumf semble perplexe…une marcheuse aurait elle la tête à l’envers !

Après quelques kilomètres de route, les discours allant bon train, Michèle propose de réguler les conférences… au sommet. Appuyé sur les bâtons on écoute Annie, Jo, Dominique, Jeannot et d’autres qui nous donnent des nouvelles d'un ou d’une qui reviendront dans une semaine ou deux.

A Fullie, Jo portant sa croix indique à Chantal où se trouve le « Bistrot Frigo » renommé pour être désespérément vide. Dominique propose de l’emporter. Un petit inconvénient… il ne rentre pas dans son sac à dos.

Le circuit prévoit de traverser le Bonson, difficile de passer à gué en cette saison. Dominique tente le groupe, deux marcheuses intrépides l’ont traversé mercredi. Michel est prêt pour immortaliser la scène. Cap ou pas cap… Au grand dépit du tentateur, les randonneurs choisissent de prendre une variante !

En route, tous les Girard sont là, mais où est passée Monique l’Arlésienne ? On s’en va chez Martine à la Ferme où les vaches portent un médaillon bleu.

À 4 h le soir, quand les alentours de Périgneux s’embrument, on s’assoit sur le bord des talus pour croquer la pomme et prendre « un petit canard ». On écoute Aline, Renée, Jeanine et Georgette qui offre la petite gnole. Mais ou est passé Monique l’Arlésienne ?

Enfin regroupés, les marcheurs ont retrouvé Monique l’Arlésienne. Et lorsque le paysage s’embrase, quand Périgneux s’allume les randonneurs sont sur le chemin du retour.

C'est une maison bleue Accrochée à ma mémoire. On y vient à pied, on ne frappe pas, ceux qui vivent là ont jeté la clef. Mais où êtes-vous ? Jo, Janine, Paulette attendez moi !

Texte Chantal qui a fredonné pendant toute la rando la chanson "San Francisco" de Maxime Le forestier (un must) - Photos Chantal - Mireille - Michel Chantre

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Mercredi 14 novembre 2012

Saint Médard en Forez le sentier des moulins  Longueur 10,4 Km  Dénivelé positif 365 m

Quel est donc ce troupeau qui profite du beau temps pour s'en aller aux champs ? ce sont les 48 R de Riens habitués des chemins de campagne qui filent à grands pas ce qui n'empêche pas Isabelle et la grande Renée de bavarder. Et l'on entame la descente vers la Gimond en file indienne, c'est pas pratique pour le tchat oral.

La traversée de la Gimond s'effectue sans événement notoire puisque l'esprit PP (Pierre Plouf) est quelque part ailleurs dans l'univers. Le groupe délaisse le moulin brulé et attaque la montée on l'on admire le poussé de bâton. Arrivés au hameau de Serre nos randonneurs sont accueillis par êtres étranges tout droit sortis de l'imagination de Dédé la Soudure.

Le troupeau quitte rapidement ce hameau sans avoir pu s'abreuver au puits bien cadenassé et ne souhaitant pas faire la connaissance du patron de l'office de tourisme. En traversant le bois de Pulchère, l'accélération dans la descente  est impressionnante, mais tout le monde ralentit fortement à l'approche de la route qui doit mène aux moulins. L'œil aguerri de nos guides (chacun un œil aguerri, l'autre est ailleurs) a repéré un radar à randonneur qui mesure la vitesse et contrôle le stop avant la traversée de route. Ouf personne n'a été flashé.

Première traversée de la Coise et doucement (c'est du moins ce que pense le cheval) nos R de Riens atteignent le Merlançon et retrouvent la rive boueuse de la Coise

L'eau qui coule ça donne des idées ( pas forcément de baignade !. Le groupe arrive enfin au célèbre moulin Bissy. Un peu déçu par le manque de restauration de ce joyau architectural nos randonneurs attaquent la côte de Bœuf ?

On monte, on marche sans s'attarder en admirant les sentiers aux couleurs d'automne. On passe le ruisseau de la Mure et encore un beau poussé de bâtons avant d'attaquer la restauration (pas celle du moulin) dite "pause pomme" pendant laquelle la fraîcheur de l'air incite notre valeureux Jo à enfiler une petite laine.

On bouchonne (non ce n'est pas de la restauration) sur la passerelle qui mène au moulin Feuillet en traversant la Coise et certains en profitent pour se faire remarquer par le photographe en agitant le bras. Tiens un arbre publicitaire (un nouveau concept marketing). Le groupe fractionné reprend les routes et chemins qui, sous un soleil automnal, par monts et vallées mènent vers le ruisseau du Creux.

ATTENTION BORNE CENTRALE    Michelin nous a appris que les bornes sont au bord des routes, alors s'agit-il d'une borne électrique d'une centrale thermique ou nucléaire ? Nos randonneurs ne le sauront jamais car ils ne l'ont pas trouvée. Marchant et devisant ils atteignent le château de Saint Médard avant la nuit. Une question leur vient quand même à l'esprit les saints ne sont-ils pas d'habitude logés dans des chapelles ou églises ? Peut-être celui-ci a-t-il venté au-dessus de son auréole après avoir inventé le parapluie ?

Photos Dominique   Texte interprétation libre des indications de Dominique

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                             Vendredi 16 novembre 2012

Saint Médard un bout du sentier des moulins Longueur 9 Km  Dénivelé positif 290 m

Pattenlair les yeux félins guettait, Cassenoisette affamé pauseglandait, Tournedos ignorait tout passage, Maître Lapin de St Médard planait, le chien Gargouille statufié observait l’horizon pendant que Fessenlair bricolait.

63 randonneurs commençaient leur chemin de croix dans un automne flamboyant. St Barnabé lui ayant coupé le Bé, St Médard avait fermé son parapluie laissant place au ciel bleu et à quelques rayons de soleil.

Sur le chemin de Compostelle, les marcheurs sous le regard vigilant de Jean Marc, traversent le pont de la Gimond pour attaquer un bon raidillon.

Une descente, la file de marcheurs s’étire emmenée d’un bon pas par les leaders. Le guide de rando demande un regroupement du peloton. Tandis qu’une marcheuse regarde son chrono, Jean Paul en profite pour se concentrer …en dormant debout ! Huguette la tête à l’envers, depuis la randonnée à Périgneux, nous présente une nouvelle ligne de vêtement sport « tout osé pour bien marcher ».

A Serre dans le cadre de l’exposition contemporaine « œuvres artistiques en plein air », les randonneurs découvrent les œuvres d’un artiste local qui puise son inspiration dans un dépôt de proximité, trouvant tous matériaux indispensables à son art. N’hésitez pas à faire don de vos rebus à l’artiste, tout est recyclable !

Les photographes R de Rien ont aussi du talent. Lors de la pause pomme, saisissant la beauté des lieux, ils nous offrent leurs prises de vue « Coise et Merlançon Miroirs d’automne »

Florent et Jean Marc se concertent, il est un peu tard pour aller au Moulin Bissy. Les randonneurs traversent la Coise, emmenés par Simone qui grimpe gaillardement la côte

Arrivée dans St Médard, le groupe passant devant la Moutarde Oublié, nom original, dont voici l’origine donné par la Propriétaire du magasin Mme Ferrière que je remercie « dans une conversation avec des gens du village concernant l’épicerie une personne a dit : on va a cette épicerie quand on a oublié la moutarde ! C’est à dire en dépannage. Comme nous cherchions un nom d’enseigne, nous avons décidé de cette appellation. Après avoir retrouvé véhicules et chauffeur, les marcheuses « s’assoient fatiguées sur le trottoir d’à côté »

Texte Chantal   Photos - Mireille - Florent - Jeannot - Michel chantre

 

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Mercredi 21 novembre 2012

La Tourette le chemin des Croix  Longueur 12,8 Km  Dénivelé positif 400 m

(Sur l'air de "la Rirette")"Randonneur met ses chaussures, la Tourette, la Touret-ette, randonneur met ses chaussures et s'en va sur les chemins". Cette chanson est dans la tête et sur les lèvres des 28 randonneurs qui prennent le départ depuis l'église de la Tourette (791 mètres d'altitude, latitude: 45° 24' 53'' Nord et longitude: 4° 5' 4'' Est) petit village perché de 9,5 km2 de superficie pour un peu plus de 500 habitants appelés les Tourtous.

De Tourtous y'en avait guère la Tourette, la Touret-ette, De Tourtous y'en avait guère, c'est vrai qu'il pleuvait souvent

En chemin il-e-s rencontrent, la Tourette, la Touret-ette   ..... Un cheval, un arbre qui avait les boules mais pas Guy, sous la croux une carrosserie abandonnée (mais où est la croux ?) et le cousin de Martin la célèbre dépanneuse de Cars des studios Disney.

En cheminant nos R2Riens arrivent à Montcel et essayent de deviner la date de construction du porche d'une entrée de ferme et abandonnent la lecture des panneaux indicateurs trop fournis en flèches directionnelles pour se fier au GPS et au flair de nos guides

 

Nos randonneurs continuent leur chemin de croix humide et frisquet, mais pour les deux de tête

"Chemin faisant, que ce fut tendre
 D'ouïr à deux le chant joli
 Que l'eau du ciel faisait entendre
 Sur le toit de mon parapluie"      (salut Georges)

"Sur l'chemin ils-e rencontrent la Tourette, la Touret-ette", .... un couple un brun un blond à la chevelure gominée par la pluie, qui "admirent" les courageux randonneurs surveillés par un duo aux yeux brillants à l'allure d'Iroquois ou de gendarme.

Si le lièvre ne doit pas être tiré, c'est peut-être qu'il s'est tiré, car c'est une marmotte granitique qui monte la garde à l'entrée du chemin menant nos R2Riens vers le ruisseau de Villeneuve menacé par un gros cailloux, apporté par une crue ou le petit poucet ?

"En chemin il-e-s'admirent  la Tourette, la Touret-ette " , ..... la Croix de Montorsier ou plus exactement sa copie puisque l'originale datée de 1525 fut une première restaurée en 1906 puis détruite en 1992 et remplacée par sa copie en 1998. Elle représente le Christ en croix surmonté d'un ornement végétal avec au dos la Vierge Marie et sur le haut du fût St Jean Baptiste portant une brebis.

"En chemin ils s'arrêtèrent la Tourette, la Touret-ette, sur le chemin ils s'arrêtèrent pour remplir leurs estomacs" lors de la célèbre "pausepomme" au cours de laquelle on déguste aussi bien des fruits que des produits carnés dont les restes intéressent le varan (reptile carnivore d'Asie ou d'Afrique) caché dans les feuilles. A notre qu'au coin du bois de Boulogne notre ami Claude sourit à son épouse qui rêve de le voir plus souvent dans les comptes rendus.

A la sortie du bois nos randonneurs revoit enfin la collégiale et des fantômes dans les nuages. Ils font le tour du "lac", aperçoivent une ferme brulée et le saint bonnet de la tourette. " La morale de cette ballade d'la Tourette, la Touret-ette, La morale de cette ballade c'est que la Vierge aime les chansons"

Texte : presque ... intégralement de Dominique    Photos uniquement Dominique

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Vendredi 23 novembre 2012

La Tourette le chemin des Croix  Longueur 9 Km  Dénivelé positif 280 m

Le tir du Lièvre étant interdit sur le territoire de la Tourette, le garde de chasse Le Borgne en tenue de camouflage de faction sur une branche, constata que les 57 marcheurs qui partaient en direction de Villeneuve n’étaient armés que de bâton. Cependant, ces derniers étaient bien décidés à suivre la piste du lièvre. Or, chacun sait que celui-ci ne part pas à point. Se cachait-il dans les choux en attendant leur passage ?

En chemin… La rirette ! Un fin limier certainement habitué des lieux informé par l’arbre gui parasite, rejoignit le groupe en file indienne pour les entraîner à sa suite.

Les marcheurs prirent le chemin des pierres à cupules. Regardèrent derrière chaque bloc rocheux, furent tentés d’ouvrirent une barrière de jardin mais ne virent pas l’ombre d’une oreille de lièvre. Le Limier sûr de son flair suivait la piste slalomant entre les randonneurs. Le lièvre avait il devancé le groupe ?

On fit le tour du rocher marmotte qui offusqué passa du vert au gris. Pouvait-on penser qu’il cachait le lièvre ! Il en avait vu bien d’autres qui avaient dételé comme …des lapins.

 

Perplexes les marcheurs firent de courtes haltes avant de traverser le ruisseau. Chantal et Paulette questionnèrent Jean Baptiste qui fermait la marche. Jean Marc flatta le chien qui hésitait à repartir. Le lièvre était il devant ou derrière ?

Pendant que Jean Marc soutenait le rocher ! Ou plutôt le petit poucet qui maintenait le géant en équilibre depuis des siècles, les marcheurs traversèrent le pont encouragés par Claudette et Paulette …la rirette …leur demandant de se dépêcher pour ne pas se laisser devancer ou se faire rattraper par le lièvre toujours invisible.

Chemin du pré cuit, l’affaire était cuite ! Aux dires de la Tortue qui comme dans la fable était partie la première, le lièvre bondissant avait même renversé les schtroumfs sur son passage. Fini le chemin des croix, ce fut l’hallali des 57 randonneurs et du chien dépité qui en resta la langue pendante.

Le soir tombant les marcheurs rentrèrent par Gamon. La collégiale de St bonnet le Château se voila de gris et le petit âne gris vira au noir. Moralité mieux vaut être bon marcheur que pisteur. Mais au fait ...la rirette … y a-t-il vraiment des lièvres sur les chemins de la Tourette ?

Texte Chantal                    Photos Chantal - Mireille - Florent - Jeannot - Les 3 Michels

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Mercredi 28 novembre 2012

St Cyprien – Veauche les bords de Loire rive gauche – rive droite  Longueur 14 Km  Dénivelé positif 140 m

Quand la pluie tombe plein temps, randonneur les armes rend.

Randonnée annulée pour cause de très mauvais temps

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Vendredi 30 novembre 2012

Andrézieux-Bouthéon les bords de Loire rive droite  Longueur environ 9 Km  Dénivelé positif négligeable

Nous partons du parking du poisson d’argent (près du pont d’Andrézieux) et suivons la rive droite de la Loire.

Le fleuve est assez gros et le chemin est boueux. De chaque coté du sentier prolifère la renouée du Japon, plante invasive, possédant une affinité pour les sols pollués notamment par l'Aluminium. Nous rencontrons un arbre couché qui entrave notre progression. Le grand Pierrot ne peut s’empêcher de l’enfourcher et de se balancer tandis qu’un randonneur trébuche heureusement sans gravité.

Nous admirons le panorama sur Bouthéon au passage et arrivons près de la gravière que nous contournons, nous longeons l’autoroute pour aboutir à la limite de Veauche près de la déchetterie.

Nous continuons sur Bouthéon. En admirant au Treyve l'oratoire sculté par Jean Cardot en 1962 et les peintures en trompe l'oeil ornant une façade borgne de maison. Nous atteignons le parc du château ou nous effectuons une entrée triomphale quoiqu'en ordre dispersé.

La pause « pomme » exposés aux affres du vent est courte.

Jean Marie est-il en train de prendre un malaise ? Son oeil exercé a repéré "une photo à faire" et il nous comment photographier des champignons au plus près en se couchant directement sur le sol glacé. Et nous obtenons un cliché au goût d’automne illustrant ce que les châtelains du jour auraient aimé ajouter à leur repas.

A proximité du château nous découvrons l’atelier des arts en pleine activité. Nous sommes cordialement invité par Karine Debard à découvrir les ‘’créations’’ au milieu des artistes, dans la moiteur des lieux générée par les argiles. L’air est tellement saturé d’humidité que nous n’arrivons pas à désembuer les objectifs de nos appareils photos. Néanmoins nous arrivons à saisir quelques œuvres très réussies.

La chance est avec nous à l’extérieur se pratique une séance de refroidissement et nettoyage au jet d'eau après cuisson en technique « RAKU » qui consiste à cuire dans la cendre les modelages émaillés pour en découvrir les résultats souvent inattendus. Et là encore chaque photographe à son cadrage insistant qui sur l'oeuvre réalisée, qui sur le cercle admiratif des R2R.

Nous avons particulièrement apprécié cet entracte. Mais certains sont pressés et il nous faut repartir. Nous traversons le bourg, redescendons par la cote de Coutarat  où nos photographes repèrent une statue de cinéma et shootent chacun avec son cadrage. A vous de choisir votre préféré.    Dans les ’’chambons ’’  le sentier botanique est découvert avec intérêt pour les nombreuses personnes qui ne le connaissent pas ; profil plat, bien arboré, recoupé par de nombreux ruisseaux. Droit devant, par le chemin des filles, nous atteignons la station d’épuration et rejoignons tranquillement nos véhicules alors que la nuit tombe et que le froid, accentué par le vent, commence à nous engourdir.

Texte : essentiellement de Michel Chantre et ajouts d'éléments donnés par Jean Marie  et Pierre B.     Photos : Jean Marie, Michel C., Pierrot B.

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