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Mercredi 07 novembre 2012
Périgneux le long
du Bonson et le calvaire
Longueur
13,7 Km Dénivelé positif
310 m
47
R 2 Riens ont profité de cet après midi au ciel
azuré pour démarrer de Périgneux à toute allure, la
première côte est avalée très rapidement mais ceux
qui ont pris soif en route sont déçus (surtout
Michel) car le frigo est vide !

Le peloton un peu
étiré avance à bonne allure sur les sentiers sans
toujours prendre le temps d'admirer le paysage,
mené par Monique et Claudie qui elle regardent le
point de vue dans la descente vers le Bonson.

Même si cela ne se
voit pas sur les photos, les eaux sont "hautes" à
cette période. Mais qu'à cela ne tienne Andrée et
Claudie déchaussent et rejoignent la rive opposée.
Les messieurs rechignant à porter les randonneuses
craignant l'eau froide, les guides ( ne voulant
peut-être pas se mouiller) suivent l'avis de la
majorité qui préfère faire un détour. Et voila
Andrée et Claudie traversant dans l'autre sens et
rechaussant dans l'herbe fraîche, au moins elles ont
montré que ce n'étaient pas elles les poules
"mouillées" qui ne veulent pas faire trempette.

Le peloton musarde
(ça monte) en profitant de cette variante pour
admirer un bachat auquel le plus jeune du groupe
n'hésite pas à rendre visite.
Passage à Aboennet pour prendre la
direction d'Aboen.

Après une pause qui
permet d'admirer la conception écologiste des toits
du lavoir, le peloton accélère pour rejoindre Aboen
en prenant garde de ne pas tomber dans les panneaux
que le groupe n'a pas le temps de lire en détail.

Le temps passe et le
soleil descend sur l'horizon. La chenille accélère
en quittant Aboen traversé à vive allure mais en
posant l'œil sur quelques curiosités locales mais
ANTARieures à notre siècle .... (tu l'as dit
Dominique ...)

Un peu plus loin un
panneau indicateur non référencé incite le peloton a
faire attention et donc tout le monde ralentit pour
éviter tout accident. Ce ne fut sans doute pas le
cas du conducteur de cette Renault et la cabane au
fond du jardin s'en souvient encore .............

Après passage au
chalet de nécessité et remplissage des gourdes à une
pompe newlook, le peloton fonce dans la descente
vers le bois

A l'orée du bois une
boîte à lettre nous indique la présence d'un célèbre
"docteur" ce qui laisse certains dubitatifs. La nuit
approche elle aussi à grand pas et notre président
enfile son gilet fluo pour signaler le peloton (ne
cherchez pas à le voir ainsi accoutré c'est lui qui
prend les photos), admirant la trace d'un avion au
crépuscule nos 47 randonneurs arrivent dans
Périgneux de nuit.

A propos, il était
où le calvaire ? Derrière ou dans le gué du Bonson ?
Photos Dominique Texte d'après les indications de
Dominique
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Vendredi
09 novembre 2012
Périgneux Saléard
Longueur 11 Km
Dénivelé positif
250 m
C’est une maison bleue, adossée à
la colline. On y vient à pied. On ne frappe pas.
Ceux qui vivent là ont jeté la clé.

On se retrouve ensemble au départ
de Périgneux. Tout le monde est là, on s’en va sur
les chemins. Au passage des randonneurs, un
schtroumf semble perplexe…une marcheuse aurait elle
la tête à l’envers !

Après quelques kilomètres de
route, les discours allant bon train, Michèle
propose de réguler les conférences… au sommet.
Appuyé sur les bâtons on écoute Annie, Jo,
Dominique, Jeannot et d’autres qui nous donnent des
nouvelles d'un ou d’une qui reviendront dans une
semaine ou deux.

A Fullie, Jo portant sa croix
indique à Chantal où se trouve le « Bistrot Frigo »
renommé pour être désespérément vide. Dominique
propose de l’emporter. Un petit inconvénient… il ne
rentre pas dans son sac à dos.

Le circuit prévoit de traverser le
Bonson, difficile de passer à gué en cette saison.
Dominique tente le groupe, deux marcheuses
intrépides l’ont traversé mercredi. Michel est prêt
pour immortaliser la scène. Cap ou pas cap… Au grand
dépit du tentateur, les randonneurs choisissent de
prendre une variante !

En route, tous les Girard sont là,
mais où est passée Monique l’Arlésienne ? On s’en va
chez Martine à la Ferme où les vaches portent un
médaillon bleu.

À 4 h le soir, quand les alentours
de Périgneux s’embrument, on s’assoit sur le bord
des talus pour croquer la pomme et prendre « un
petit canard ». On écoute Aline, Renée, Jeanine et
Georgette qui offre la petite gnole. Mais ou est
passé Monique l’Arlésienne ?

Enfin regroupés, les marcheurs ont
retrouvé Monique l’Arlésienne. Et lorsque le paysage
s’embrase, quand Périgneux s’allume les randonneurs
sont sur le chemin du retour.

C'est une maison bleue Accrochée à
ma mémoire. On y vient à pied, on ne frappe pas,
ceux qui vivent là ont jeté la clef. Mais où
êtes-vous ? Jo, Janine, Paulette attendez moi !

Texte Chantal qui a fredonné pendant toute la
rando la chanson "San Francisco" de Maxime Le
forestier (un must) - Photos Chantal - Mireille -
Michel Chantre
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Mercredi 14 novembre 2012
Saint Médard
en Forez le sentier des moulins
Longueur
10,4 Km Dénivelé positif
365 m
Quel est donc ce
troupeau qui profite du beau temps pour s'en aller
aux champs ? ce sont les 48 R de Riens habitués des
chemins de campagne qui filent à grands pas ce qui
n'empêche pas Isabelle et la grande Renée de
bavarder. Et l'on entame la descente vers la Gimond
en file indienne, c'est pas pratique pour le tchat
oral.

La traversée de la
Gimond s'effectue sans événement notoire puisque
l'esprit PP (Pierre Plouf) est quelque part ailleurs
dans l'univers. Le groupe délaisse le moulin brulé
et attaque la montée on l'on admire le poussé de
bâton. Arrivés au hameau de Serre nos randonneurs
sont accueillis par êtres étranges tout droit sortis
de l'imagination de Dédé la Soudure.

Le troupeau quitte
rapidement ce hameau sans avoir pu s'abreuver au
puits bien cadenassé et ne souhaitant pas faire la
connaissance du patron de l'office de tourisme. En
traversant le bois de Pulchère, l'accélération dans
la descente est impressionnante, mais tout le
monde ralentit fortement à l'approche de la route
qui doit mène aux moulins. L'œil aguerri de nos
guides (chacun un œil aguerri, l'autre est ailleurs)
a repéré un radar à randonneur qui mesure la vitesse
et contrôle le stop avant la traversée de route. Ouf
personne n'a été flashé.

Première traversée de
la Coise et doucement (c'est du moins ce que pense
le cheval) nos R de Riens atteignent le Merlançon et
retrouvent la rive boueuse de la Coise

L'eau qui coule ça
donne des idées ( pas forcément de baignade !. Le
groupe arrive enfin au célèbre moulin Bissy. Un peu
déçu par le manque de restauration de ce joyau
architectural nos randonneurs attaquent la côte de
Bœuf ?

On monte, on marche
sans s'attarder en admirant les sentiers aux
couleurs d'automne. On passe le ruisseau de la Mure
et encore un beau poussé de bâtons avant d'attaquer
la restauration (pas celle du moulin) dite "pause
pomme" pendant laquelle la fraîcheur de l'air incite
notre valeureux Jo à enfiler une petite laine.

On bouchonne (non ce
n'est pas de la restauration) sur la passerelle qui
mène au moulin Feuillet en traversant la Coise et
certains en profitent pour se faire remarquer par le
photographe en agitant le bras. Tiens un arbre
publicitaire (un nouveau concept marketing). Le
groupe fractionné reprend les routes et chemins qui,
sous un soleil automnal, par monts et vallées mènent
vers le ruisseau du Creux.

ATTENTION BORNE
CENTRALE
Michelin nous a appris que les bornes sont au bord
des routes, alors s'agit-il d'une borne électrique
d'une centrale thermique ou nucléaire ? Nos
randonneurs ne le sauront jamais car ils ne l'ont
pas trouvée. Marchant et devisant ils atteignent le
château de Saint Médard avant la nuit. Une question
leur vient quand même à l'esprit les saints ne
sont-ils pas d'habitude logés dans des chapelles ou
églises ? Peut-être celui-ci a-t-il venté au-dessus
de son auréole après avoir inventé le parapluie ?

Photos Dominique Texte
interprétation libre des indications de Dominique
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Vendredi
16 novembre 2012
Saint Médard un
bout du sentier des moulins
Longueur 9 Km
Dénivelé positif
290 m
Pattenlair les yeux félins
guettait, Cassenoisette affamé pauseglandait, Tournedos ignorait tout passage, Maître
Lapin de St Médard planait, le chien Gargouille
statufié observait l’horizon pendant que Fessenlair
bricolait.

63
randonneurs commençaient leur chemin de croix dans
un automne flamboyant. St Barnabé lui ayant coupé le
Bé, St Médard avait fermé son parapluie laissant
place au ciel bleu et à quelques rayons de soleil.

Sur le chemin de Compostelle, les
marcheurs sous le regard vigilant de Jean Marc,
traversent le pont de la Gimond pour attaquer un bon
raidillon.

Une descente, la file de marcheurs
s’étire emmenée d’un bon pas par les leaders. Le
guide de rando demande un regroupement du peloton.
Tandis qu’une marcheuse regarde son chrono, Jean
Paul en profite pour se concentrer …en dormant
debout ! Huguette la tête à l’envers, depuis la
randonnée à Périgneux, nous présente une nouvelle
ligne de vêtement sport « tout osé pour bien marcher
».

A Serre dans le cadre de
l’exposition contemporaine « œuvres artistiques en
plein air », les randonneurs découvrent les œuvres
d’un artiste local qui puise son inspiration dans un
dépôt de proximité, trouvant tous matériaux
indispensables à son art. N’hésitez pas à faire don
de vos rebus à l’artiste, tout est recyclable !

Les photographes R de Rien ont
aussi du talent. Lors de la pause pomme, saisissant
la beauté des lieux, ils nous offrent leurs prises
de vue « Coise et Merlançon Miroirs d’automne »


Florent et Jean Marc se
concertent, il est un peu tard pour aller au Moulin
Bissy. Les randonneurs traversent la Coise, emmenés
par Simone qui grimpe gaillardement la côte

Arrivée dans St Médard, le groupe
passant devant la Moutarde Oublié, nom original,
dont voici l’origine donné par la Propriétaire du
magasin Mme Ferrière que je remercie « dans une
conversation avec des gens du village concernant
l’épicerie une personne a dit : on va a cette
épicerie quand on a oublié la moutarde ! C’est à
dire en dépannage. Comme nous cherchions un nom
d’enseigne, nous avons décidé de cette appellation.
Après avoir retrouvé véhicules et chauffeur, les
marcheuses « s’assoient fatiguées sur le trottoir
d’à côté »

Texte Chantal Photos - Mireille -
Florent - Jeannot - Michel chantre
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Mercredi
21 novembre 2012
La Tourette le
chemin des Croix Longueur
12,8 Km
Dénivelé positif
400 m
(Sur l'air de "la Rirette")"Randonneur met ses
chaussures, la Tourette, la Touret-ette, randonneur
met ses chaussures et s'en va sur les chemins".
Cette chanson est dans la tête et sur les lèvres des
28 randonneurs qui prennent le départ depuis
l'église de la Tourette (791 mètres d'altitude,
latitude: 45° 24' 53'' Nord et longitude: 4° 5' 4''
Est) petit village perché de 9,5 km2 de superficie
pour un peu plus de 500 habitants appelés les
Tourtous.

De Tourtous y'en avait guère la Tourette, la
Touret-ette, De Tourtous y'en avait guère, c'est
vrai qu'il pleuvait souvent
En chemin il-e-s
rencontrent, la Tourette, la Touret-ette
..... Un cheval, un arbre qui avait les boules mais
pas Guy, sous la croux une carrosserie abandonnée
(mais où est la croux ?) et le cousin de Martin la
célèbre dépanneuse de Cars des studios Disney.

En cheminant nos R2Riens arrivent à Montcel et
essayent de deviner la date de construction du
porche d'une entrée de ferme et abandonnent la
lecture des panneaux indicateurs trop fournis en
flèches directionnelles pour se fier au GPS et au
flair de nos guides

Nos randonneurs continuent leur chemin de croix
humide et frisquet, mais pour les deux de tête
"Chemin faisant, que ce fut tendre
D'ouïr à deux le chant joli
Que l'eau du ciel faisait entendre
Sur le toit de mon parapluie" (salut
Georges)
"Sur l'chemin ils-e rencontrent la Tourette, la
Touret-ette", .... un couple un brun un blond à la
chevelure gominée par la pluie, qui "admirent" les
courageux randonneurs surveillés par un duo aux yeux
brillants à l'allure d'Iroquois ou de gendarme.

Si le lièvre ne doit pas être tiré, c'est peut-être
qu'il s'est tiré, car c'est une marmotte granitique
qui monte la garde à l'entrée du chemin menant nos
R2Riens vers le ruisseau de Villeneuve menacé par un
gros cailloux, apporté par une crue ou le petit
poucet ?

"En chemin il-e-s'admirent la Tourette, la
Touret-ette " , ..... la Croix de Montorsier ou plus
exactement sa copie puisque l'originale datée de
1525 fut une première restaurée en 1906 puis
détruite en 1992 et remplacée par sa copie en 1998.
Elle représente le Christ en croix surmonté d'un
ornement végétal avec au dos la Vierge Marie et sur
le haut du fût St Jean Baptiste portant une brebis.

"En chemin ils s'arrêtèrent la Tourette, la Touret-ette,
sur le chemin ils s'arrêtèrent pour remplir leurs
estomacs" lors de la célèbre "pausepomme" au cours
de laquelle on déguste aussi bien des fruits que des
produits carnés dont les restes intéressent le varan
(reptile carnivore d'Asie ou d'Afrique) caché dans
les feuilles. A notre qu'au coin du bois de Boulogne
notre ami Claude sourit à son épouse qui rêve de le
voir plus souvent dans les comptes rendus.

A
la sortie du bois nos randonneurs revoit enfin la
collégiale et des fantômes dans les nuages. Ils font
le tour du "lac", aperçoivent une ferme brulée et le
saint bonnet de la tourette. " La morale de cette
ballade d'la Tourette, la Touret-ette, La morale de
cette ballade c'est que la Vierge aime les chansons"

Texte : presque ... intégralement de Dominique
Photos uniquement Dominique
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Vendredi
23 novembre 2012
La Tourette le
chemin des Croix
Longueur 9 Km
Dénivelé positif
280 m
Le tir du Lièvre étant interdit
sur le territoire de la Tourette, le garde de chasse
Le Borgne en tenue de camouflage de faction sur une
branche, constata que les 57 marcheurs qui partaient
en direction de Villeneuve n’étaient armés que de
bâton. Cependant, ces derniers étaient bien décidés
à suivre la piste du lièvre. Or, chacun sait que
celui-ci ne part pas à point. Se cachait-il dans les
choux en attendant leur passage ?
En chemin… La rirette ! Un fin
limier certainement habitué des lieux informé par
l’arbre gui parasite, rejoignit le groupe en file
indienne pour les entraîner à sa suite.

Les marcheurs prirent le chemin
des pierres à cupules. Regardèrent derrière chaque
bloc rocheux, furent tentés d’ouvrirent une barrière
de jardin mais ne virent pas l’ombre d’une oreille
de lièvre. Le Limier sûr de son flair suivait la
piste slalomant entre les randonneurs. Le lièvre
avait il devancé le groupe ?
On fit le tour du rocher marmotte
qui offusqué passa du vert au gris. Pouvait-on
penser qu’il cachait le lièvre ! Il en avait vu bien
d’autres qui avaient dételé comme …des lapins.

Perplexes les marcheurs firent de
courtes haltes avant de traverser le ruisseau.
Chantal et Paulette questionnèrent Jean Baptiste qui
fermait la marche. Jean Marc flatta le chien qui
hésitait à repartir. Le lièvre était il devant ou
derrière ?

Pendant que Jean Marc soutenait le
rocher ! Ou plutôt le petit poucet qui maintenait le
géant en équilibre depuis des siècles, les marcheurs
traversèrent le pont encouragés par Claudette et
Paulette …la rirette …leur demandant de se dépêcher
pour ne pas se laisser devancer ou se faire
rattraper par le lièvre toujours invisible.

Chemin du pré cuit, l’affaire
était cuite ! Aux dires de la Tortue qui comme dans
la fable était partie la première, le lièvre
bondissant avait même renversé les schtroumfs sur
son passage. Fini le chemin des croix, ce fut
l’hallali des 57 randonneurs et du chien dépité qui
en resta la langue pendante.

Le soir tombant les marcheurs
rentrèrent par Gamon. La collégiale de St bonnet le
Château se voila de gris et le petit âne gris vira
au noir. Moralité mieux vaut être bon marcheur que
pisteur. Mais au fait ...la rirette … y a-t-il
vraiment des lièvres sur les chemins de la Tourette
?

Texte Chantal
Photos Chantal - Mireille - Florent - Jeannot - Les
3 Michels
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Mercredi 28 novembre 2012
St Cyprien – Veauche les bords de
Loire rive gauche – rive droite
Longueur
14 Km Dénivelé positif
140 m
Quand la pluie
tombe plein temps, randonneur les armes rend.
Randonnée annulée pour cause de très mauvais
temps
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Vendredi 30 novembre 2012
Andrézieux-Bouthéon les bords de Loire
rive droite
Longueur
environ 9 Km Dénivelé positif
négligeable
Nous partons du parking du poisson
d’argent (près du pont d’Andrézieux) et suivons la
rive droite de la Loire.
Le fleuve est assez gros et le
chemin est boueux. De chaque coté du sentier
prolifère la renouée du Japon, plante invasive,
possédant une affinité pour les sols pollués
notamment par l'Aluminium. Nous rencontrons un arbre
couché qui entrave notre progression. Le grand
Pierrot ne peut s’empêcher de l’enfourcher et de se
balancer tandis qu’un randonneur trébuche
heureusement sans gravité.

Nous admirons le panorama sur
Bouthéon au passage et arrivons près de la gravière
que nous contournons, nous longeons l’autoroute pour
aboutir à la limite de Veauche près de la
déchetterie.


Nous continuons sur Bouthéon. En
admirant au Treyve l'oratoire sculté par Jean Cardot
en 1962 et les peintures en trompe l'oeil ornant une
façade borgne de maison. Nous atteignons le parc du
château ou nous effectuons une entrée triomphale
quoiqu'en ordre dispersé.

La
pause « pomme » exposés aux affres du vent
est courte.

Jean Marie est-il en train de
prendre un malaise ? Son oeil exercé a repéré "une
photo à faire" et il nous comment
photographier des champignons au plus près en se
couchant directement sur le sol glacé. Et nous
obtenons un cliché au goût d’automne illustrant ce
que les châtelains du jour auraient aimé ajouter à
leur repas.

A proximité du château nous
découvrons l’atelier des arts en pleine activité.
Nous sommes cordialement invité par Karine Debard à
découvrir les ‘’créations’’ au milieu des artistes,
dans la moiteur des lieux générée par les argiles.
L’air est tellement saturé d’humidité que nous
n’arrivons pas à désembuer les objectifs de nos
appareils photos. Néanmoins nous arrivons à saisir
quelques œuvres très réussies.

La chance est avec nous à
l’extérieur se pratique une séance de
refroidissement et nettoyage au jet d'eau après
cuisson en technique « RAKU » qui
consiste à cuire dans la cendre les modelages émaillés pour en
découvrir les résultats souvent inattendus. Et là
encore chaque photographe à son cadrage insistant
qui sur l'oeuvre réalisée, qui sur le cercle
admiratif des R2R.

Nous avons particulièrement
apprécié cet entracte. Mais certains sont pressés et
il nous faut repartir. Nous traversons le bourg,
redescendons par la cote de Coutarat où nos
photographes repèrent une statue de cinéma et
shootent chacun avec son cadrage. A vous de choisir
votre préféré. Dans les ’’chambons ’’ le
sentier botanique est découvert avec intérêt pour
les nombreuses personnes qui ne le connaissent pas ;
profil plat, bien arboré, recoupé par de nombreux
ruisseaux. Droit devant, par le chemin des
filles, nous atteignons la station d’épuration et
rejoignons tranquillement nos véhicules alors que la
nuit tombe et que le froid, accentué par le vent,
commence à nous engourdir.

Texte : essentiellement de Michel Chantre et
ajouts d'éléments donnés par Jean Marie et
Pierre B. Photos
: Jean Marie, Michel C., Pierrot B.
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