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    RECITS - PHOTOS : Mois de Mars 2013 ou Retour Historique

1er mars , 06 mars , 08 mars , 13 mars , 15 mars , 20 mars , 22 mars , 27 mars , 29 mars


Vendredi 1er mars 2013

Montbrison-Curtieux le pic de Mauratier  Longueur 10 Km  Dénivelé positif 305 m

La guerre des « 3 guides n’a pas eu lieu » Mais au fait, combien y en avait t-il pour emmener les marcheurs sur les chemins de Curtieux et prendre le bon itinéraire ? Même la croix qui indiquait toutes les directions n’en savait rien.

En ce jour froid et brumeux, les marcheurs prirent le Chemin des Raines mot ancien qui veut dire Grenouille. Ils ne virent ni grenouille ni roi transformé en crapaud hormis un rucher endormi.

le soleil n’en n’avait pas fini de bouder et la glace était Reine, obligeant les marcheurs à grimper sur les talus

Les pieds dans la gadoue, le groupe est arrivé en file fantomatique dans la brume du plateau.

En compagnie des Guides Jeannot et Michel, des cavaliers ont fermé la marche jusqu’à la pause pomme où les randonneurs frileux espérèrent désespérément une vue sur la vallée. Il est à noter que dans cette contrée, il est interdit de donner à manger aux ours et aux élans ! Si l’on aperçu l’ours indifférent à notre passage, on ne vit point d’élan caché peut être derrière les rocheuses.

Toujours dans la brume, les marcheurs prirent leur élan pour s’en aller à travers bois et rentrer par le chemin des écoliers à Curtieux et déguster sur le parking les bugnes de Jean Paul.

Texte Chantal  Photos - Chantal - M. Perrier - M. Peyron

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Mercredi 06 mars 2013

Rochetaillée – St Etienne le sentier de l’Aqueduc des Fontaines Longueur 12,5 Km  Dénivelé positif 490 m

Le temps glacial en a refroidi beaucoup mais 11 randonneurs étaient fidèles au poste pour cette randonnée, même si certains comme Françoise auraient sans doute préféré s'arrêter au chaud à l'Auberge de Rochetaillée (quelle imagination pour l'enseigne). Le temps annoncé pluvieux est finalement "presque" ensoleillé, merci à notre lutin Gabrielle qui a chassé les  nuages les plus menaçants. eu après le départ on trouve une alternance non politique de chemins boueux, enneigés et verglacés. En surveillant son équilibre on admire la vue sur Rochetaillée et les monts du Pilat dans les nuages et l'on continue notre chemin de croix à la Fontgerouse dans la descente vers St Etienne.

Sur nos chemins boueux, malaisés et glissants on voit que la nature est aux portes de la ville mais en guise de Portail Rouge le notre est bleu et nous continuons notre descente surveillé par un drôle de zèbre à la fenêtre.

La remontée se fait par le sentier de l'Aqueduc des Fontaines (ou Aqueduc des sources du Grand Bois) "Autrefois, la ville de Saint-Étienne n’était guère alimentée en eau que par ses fontaines, présentes dans tous les quartiers. À l’heure du repas, les ménagères envoyaient leurs « piosous » chercher de l’eau, et les fontaines distribuaient à tout moment de l’année, et à volonté, une eau pure et fraîche. Or ces fontaines étaient alimentées par un aqueduc, captant l’eau des sources du Grand Bois. Une petite balade en forêt, au départ du Bessat, va nous permettre d’en retrouver le passage." C'est ainsi que débute l'article écrit par Patrick Berlier dans le site forezinfo.com fort bien documenté avec une pointe d'humour que je vous invite à aller lire en utilisant le lien ci-après : http://www.forez-info.com/encyclopedie/flaneries-et-chroniques-pilatoises/5381-laqueduc-des-sources-du-grand-bois.html .

Ce sentier longe la route départementale 8 qui relie St Etienne à Rochetaillée et aussi le Gouffre d'Enfer. C'est un sentier très sécurisé ! Nous atteignons la chapelle et la statue d la vierge Marie. L'invitation écrite en majuscules au dessus de la porte a de ce fait un connotation très moderne : " si l'amour de Marie en votre cœur est grave" c'est de la langue d'jeunesss, mais "lui dire un ave" est moins compréhensible.

L'eau est comment dire "très fraiche" dans le lavoir et personne n'a osé asperger Françoise qui fait mine de faire sa lessive, le roi du bachat s'il avait été là aurait-il osé, nul n'ose répondre à la question. Et l'on attaque une dernière boucle au-dessus de Rochetaille

Un volatile de garde veut faire la l'oie mais Pierrot a plus d'un bâton dans son sac pour le tenir à distance et permettre au groupe de passer sans encombre. Les paysages et les sentiers sont également enneigés et le photographe aux doigts gelés fait involontairement un effet d'obturation du plus bel effet. le retour à Rochetaillée se fait sans problème en surveillant ses pieds pour ne pas faire comme Gavroche par la faute à Voltaire.

Photos Dominique               Texte d'après des indications de Dominique

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                             Vendredi 08 mars 2013

Rochetaillée – St Etienne le sentier de l’Aqueduc des Fontaines  Longueur 8,3 Km  Dénivelé positif 290 m

Une averse une heure avant le départ a dissuadé bon nombre de marcheurs puisque nous n'étions que 16 à participer à cette randonnée programmée à Rochetaillée.

Ce n'est pas encore la parité mais on progresse puisque nous démarrons avec une guide. Sur le parking, Myriam prend en main la carte IGN et Pierrot est satisfait de trouver en elle une collaboratrice efficace. Et c'est parti par un chemin partant du cimetière (c'est là que l'on termine normalement, mais seulement pour notre dernière balade) qui  mène au pied de la Madone et une halte s'impose pour contempler le village de Rochetaillée et la vallée du Gouffre d'Enfer.

A propos bien que Chantal ait reculé devant l'averse (elle l'a regretté ensuite) un peu de culture :

Rochetaillée est un quartier de la ville de Saint-Etienne avec un statut de commune associée. Le village de Rochetaillée (point culminant de Saint-Etienne) est perché entre 775 et 1117 m d'altitude. Il fait partie du Parc naturel régional du Pilat. Le village se situe sur une ligne de partage des eaux entre deux mers avec deux rivières : le Furan (appartenant au bassin versant de la Loire) et le Janon (appartenant au bassin versant du Rhône). Les habitants de Rochetaillée sont des Rupisciciens ... mais on ne vous demande pas de le retenir !

Le Château féodal : sa date de construction reste inconnue mais on trouve au moins sa trace dans la littérature en 1173 vers la fin du règne de Louis VII (juste avant Philippe Auguste) et peu après la 2ème croisade (1149) qui se termina lamentablement . Situé sur un piton rocheux qui le rendait inaccessible au nord, le château était composé de 4 tours dont 3 subsistent aujourd'hui.

 

A l'intersection de plusieurs chemins, se dresse la Croix du Perthuis. En poursuivant toujours sous la conduite de Myriam, nous arrivons au lieu-dit "le Plateau" vaste étendue d'où l'on peut découvrir la ville de Saint-Etienne et tout l'encadrement montagneux du pays stéphanois. Une petite régénératrice

Puis nous descendons jusqu'au Portail Rouge et là

Michel entre dans une grande réflexion pour trouver l'itinéraire du retour et nous prenons le sentier de l'Aqueduc des Fontaines, Michel payant de sa personne pour assurer le train en semant (ou presque) tout le monde. L'Aqueduc des Fontaines - ou Aqueduc des Sources - est un immense réseau de petites canalisations qui conduit toutes les sources de la forêt domaniale autour du Bessat jusqu'à un réservoir d'eau situé au Portail Rouge. Il fut construit entre 1859 et 1862. Cet étroit sentier longe la route départementale jusqu'à Rochetaillée. Avant d'arriver au village, nous passons sous la chapelle Notre-Dame dédiée à la Sainte Vierge, bénite le 4 Novembre 1731.

Aux portes de Saint-Etienne, la nature ... belle balade.

Texte : en complétant les éléments fournis par Michel    Photos : Dominique Salmon et Michel Perrier

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Mercredi 13 mars 2013

Sortie journée - Rivas - Montrond piquenique sur les bords de Loire  Longueur 22 Km  Dénivelé positif 60 m

Le temps est une nouvelle fois glacial mais 18 R2Riens espèrent une amélioration dans la journée, au moins en température. Les sont de rigueur comme celle du printemps givré et les bonnets sont rivés sur la tête. La Loire, même si elle n'est pas prise par la glace coule lentement frigorifiée et nous offre ses perspectives pour les photos. Nous sommes en milieu protégé et notre allure est aux "pas pressés" pour respecter les bords de la Loire et les rares fleurs qui annonce le printemps pour le 20. Mais une plante  urticante géante nous incite à rester sagement sur le sentier et nos gardes " à vous"!

Petites photos souvenir du groupe sur le pont avant de longer les gravières et rejoindre le sentier du curiste.

Il fait toujours aussi froid et la faim se fait sentir le pas s'allonge et l'allure s'accélère car le château de Montrond est en vue. Nous passons donc rapidement sans visiter à côté d'un "ex" musée de voitures anciennes - quel gâchis !

Enfin nous arrivons au château, mais là la porte et fermée et aucun guetteur n'a pitié des cheminots de passage et la porte reste close. pas d'abri au château, tant pis nous trouvons un coin sous toit mais à tous vents à l'entrée de Montrond. n essaie de se réchauffer en agrémentant le menu de boissons diététiques : vin chaud, thé, café et bien sûr d'une petite goutte (pas au nez celle là!). Mais le froid gèle les doigts, le nez (qui finira par l'avoir sa goutte), les pieds, ... il faut repartir.

Le pont de l'ancienne voie ferrée nous permet de gagner l'autre rive, un regroupement s'avère nécessaire car une difficulté majeure nous attend. Il faut sauter une barrière de barbelés obstruant le chemin. Heureusement  Pierrot a tout prévu ! Il sort de sa besace le matériel de protection pour sécuriser le passage et l'installe avec soin (eh oui les R2R s'équipent). Le saut d'obstacle se fait en sécurité et tout en grâce, admirez ces sauts ! Malgré tout des impatients ou sceptiques préfèrent le passage entre les rangs de barbelés ... chacun sa technique, mais attention quand à l'accident toujours possible .....  n'est-ce pas Pierrot

Après un bout de "chemin" disparu parcouru au GPS  (ils sont vraiment équipés ces R2R) et une petite halte pour vérifier que l'on a perdu personne, nous terminons le parcours par des bords de Loire plus accidentés mais remarquablement aménagés ... sans dommage et le cœur chaud avec  une pensée pour ceux qui n'ont pas osé affronter le froid.

Photos et texte Dominique

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                             Vendredi 15 mars 2013

Sortie journée - Rivas - Montrond pique nique sur les bords de Loire  Longueur 17 Km  Dénivelé positif 60 m

Ni la température négative du matin, ni les 19 kms du circuit, n'ont rebuté 14 marcheurs (8 femmes et 6 hommes) pour cette randonnée à la journée de Rivas à Montrond les Bains. Nous garons les véhicules sur le parking de l'église Sainte-Anne de Rivas. Celle-ci se différencie des autres églises du Pays de Saint-Galmier par ses matériaux de construction : la brique et les galets de la Loire. Nous remontons la rive droite de la Loire jusqu'à Montrond les Bains. L'allure est soutenue et tout le monde garde le sourire malgré le froid vif.

A la confluence de trois cours d'eau, l'Anzieux, la Coise et la Loire, l'espace de loisirs des Lonzes reste un lieu privilégié avec la nature. - Nous nous arrêtons pour assister à l'abattage d'un arbre qui penchait du côté qu'il voulait tomber ! - Malgré le danger nous nous lançons curieux sur le chemin des curistes pour savoir s'il mène à la cure et si oui laquelle ? Remarquez l'allure des randonneurs traversant un petit pont en bois sur la Coise Maryse gracieuse évidemment, les pécheurs attentifs à ce qui se passe dans la Coise (regarde c'est un bon coin !), Jo vitupère après on n sait qui ou quoi, deux belles randonneuses conversant tranquillement, puis accélérant quand Jean Marie les photographie et enfin bon dernier Jean Marie qui s'arrête souvent pour photographier et Pierrot qui joue le serre-file. Elle n'est pas belle la vie !

Bon sang de bon sang, Simone tombe et la voilà marquée au front, le sang coule jusqu'à terre, mais Pierrot qui a gardé son sang froid sort la pharmacie ; son sang n'a fait qu'un tour pour secourir Simone qui a versé son sang pour la bonne cause ! Et après les soins dévoués et efficaces il ne reste ....     qu'une microscopique trace. Bravo l'infirmier.

Arrivés à Montrond les Bains, nous contournons le château médiéval. Cette imposante bâtisse fut construite sur une éminence basaltique, seul point élevé de la plaine sur la rive droite de la Loire et devint un poste de surveillance. La renaissance vit l'édifice se transformer en un fabuleux château, lieu de réjouissances et fêtes grandioses.

Le viaduc de Montrond les Bains est devenu le rendez-vous incontournable des promeneurs. Il s'agit d'un élégant pont en pierre construit au 19ème siècle. Au loin, on aperçoit le pont autoroutier Montrond les Bains / Montbrison.

Un sentier aménagé nous permet de remonter la rive gauche de la Loire en passant par Unias et Craintilleux et enfin traversons le pont de Rivas pour rejoindre nos véhicules. En résumé, une balade agréable entre deux ponts.

Texte : Michel Perrier   Photos : Jean Marie Peault, Michel Perrier

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Mercredi 20 mars 2013

le Guizay le barrage de l’Ondénon Longueur 12,1 Km  Dénivelé positif 450 m

Le départ est donné dès que les 27 randonneurs se regroupés avec quelques péripéties au point de départ ! En ce 1er jour du printemps nos marcheurs en attaquant le circuit du jour apprécient la vision d'un rayon de soleil sur St Etienne. la descente vers la vallée de l'Ondénon se fait en traversant un triste paysage de collines ravagées par le feu. la végétation reprend doucement ses droits et une mousse épaisse s'est déjà installée par endroit, Françoise aussi mais l'heure n'est pas à la bronzette.

Nous arrivons en vue du barrage de l'Ondénon, encore un peu de dur et nous pouvons admirer les perspectives du barrage et de la retenue d'eau. ce barrage de 400 000 m3 a été construit de 1901 à 1904, il fait presque 33 m de haut et 380 m de long et les travaux ont malheureusement couté la vie à 3 ouvriers. Destiné à répondre au besoisn en eau potable de la Ricamarie et industrielle du centre houiller et d'éviter les inondations et les conséquences d'une sécheresse. Aujourd'hui pour cause de normes européennes sur l'eau potable il ne sert plus qu'à la gestion des crues dont certaines restent dévastratrices comme en 2007.

La remontée de la vallée de l'Ondénon nécessite de traverser plusieurs fois le ruisseau avec quelques contraintes mais toujours avec la démonstration que la politique de la main tendue n'est pas seulement un slogan chez les R2Riens. Alors chacun son style et ses astuces pas toujjours bonnes et pouquoi pas en profiter pour se laver les pieds et nettoyer ses sandales.

La suite n'est pas exactement une simple promenade de santé  car les passages sont resserés, les feuilles mortes glissent sous les chaussures, les branches obstruent le chemin, mais  après la main tendue Dominique notre bon président pratique la main levée pour dégager le passage et avec quelle décontraction ! Malgré la boue qui complique aussi la marche le point culminant à 1 015m est atteint sans encombre.

Certains vous diront peut-être que la neige était au rendez-vous, mais seulement dans quelques points abrités du soleil et pour nous rappeler que hier c'était l'hiver

mais malgré une averse au loin le soleil a largement dominé et le ciel était le plus souvent bleu, alors  

en vérité je vous le dis

et MIreille va être contente

Photos Dominique    Texte d'après des indications de Dominique

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Vendredi 22 mars 2013

le Guizay le barrage de l’Ondénon Longueur 7 Km  Dénivelé positif 250 m

Le printemps est au calendrier pourtant Il fait encore frisquet pour cette randonnée au Guizay. Bonnet, capuche, anorak sont de rigueur. Près du parking du haut de sa stèle, la Madone veille sur St Etienne autrefois ville noire devenue Ville blanche reconnaissable à sa colonne dorsale « La Grande Rue ». Les 58 marcheurs descendent vers le barrage de l’Ondenon qui approvisionne la Ricamarie.

L’équipe de photographes est au complet, l’objectif est de prendre les petites cataractes de l’Ondenon et chutes … en tout genre. Maître Jean Marie et ses élèves sont à pied d’œuvre. Pierrot attaque par un premier lancé de caillou. Les photographes vont s’en donner à cœur joie !

Premier passage de l’Ondenon, sans difficulté, les marcheurs pataugent. On attend le suivant …

2ème passage, Marie Christine traverse avec assurance…derrière ça se complique, Michel et Florent veillent au bon passage des marcheuses

Tandis qu’Alain et Michel repèrent les lieux, en arrière plan Jean Marie et Michel visualisent leurs photos. Dominique consolide la retenue, Florent assure le passage, en fin de file Dominique semble inquiet !

Un nouveau passage « au long long laissons les passer les randonneurs qui vont traverser l’Ondenon » les marcheuses hésitent, on pose un pied, deux pieds, pour arriver dans les bras du Chef. Les marcheurs ne faites pas les malins ! La preuve en photos, vous hésitez, recherchez un autre passage qui vous semble plus facile. Peu rassurés, vous posez un pied puis l’autre pour être réceptionné (le terme change mais pas la manière) par Dominique. Chantal passe, Pierrot ne peut résister à une petite éclaboussure !

Passera trois fois, la première… la dernière tombera. Un pied qui glisse une chaussette mouillée …clic clac c’est dans la boîte.

Pause pomme chacun trouve sa place, seul ou en groupe on échange. Michelle les pieds à l’air semble avoir pris un bain de chaussettes !

Oulala ça monte ! On s’entraide, s’agrippe aux bras des chefs, aux arbres. Hélène s’enfonce dans un tapis de feuilles sous le regard inquiet de Michel prêt à intervenir !

On termine la remontée en pataugeant dans le lit de l’ondenon.. « t’as ben raison Pierrot ». Arrivés sur le plateau, les randonneurs s’interrogent, Simone interpelle Alain « t’es sûr qu’on redescend ? » … juste pour remonter un ptit peu jusqu’au parking !

Les chutes sont dans la boîte ! Les photographes se sont appliqués, à vous de juger …

Photos - Chantal - Mireille - Jeannot - Jean Marie - Michel Ch.

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Mercredi 27 mars 2013

St Maurice en Gourgois Mons - Aurec Longueur 12,5 Km  Dénivelé positif 500 m

C'est toujours le printemps, le ciel est bleu et la température à peu près idéale pour nos 46 R2Riens (Eh oui quand il fait beau et une température douce il y a plus d'amateurs). Ce fut une randonnée de type « normale » oubliés le froid, la neige le verglas… Rassemblement à St rambert puis à Mons au pied du belvédère (836 m d'altitude). Un petit passage entre les deux demi lune de la table d'orientation, avec des indications gravées dans la pierre, pour admirer le paysage et c'est parti

Des côtes et des descentes comme on les aime, pas trop dures ou chacun monte à son rythme et descend en douceur avec peu de goudron et des chemins en bon état et secs.

C'était d'autant plus agréable que nous pouvions au passage admirer les premièrs fleurs printanières comme ces primevères et faire de petites haltes pour se raassembler

Un passage en bord de Loire à Aurec et le groupe s'engage sur le sentier boue. Hé Dominique tu l'as pourtant lu le panneau que tu as photographié.

Des traversées de ruisseaux avec ou sans arrosage et plouf…, l’appareil prend l’eau et son propriétaire aussi d’ailleurs. Comment a été prise la photo ci-dessous personne ne le sait pas même Lumix ne se souvient pas comment il s'est déclenché, Monique était était très inquiète : pourvu qu'il ne soit pas cassé ........... son Dominique bien sûr

Selon ses dires c’est en voulant faire le malin que notre président a pris son bain. Alors à bon entendeur !! Le reste du parcours fut certes agréable pour les 45 autres randonneurs, mais nettement moins pour Dominique humide, meurtri et inquiet pour son appareil photo qui heureusement bien essuyé et séché a été sauvé et nous a fourni les clichés de ce compte rendu.

Photos Dominique Texte d'après les dires de Dominique

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Vendredi 29 mars 2013

St Maurice en Gourgois Mons - Aurec Longueur 9,2 Km  Dénivelé positif 320 m

La pluie du matin a dû arrêter quelques pèlerins car seulement 10 R2Riens sont présents sur laa photo (lephotographe en médaillon) pour notre marche hebdomadaire. Comme souvent les absents ont eu tord car notre ténacité a été récompensée puisque la météo de l'après- midi s'est montrée plutôt clémente.

A la sortie de Saint-Maurice en Gourgois, une fuste en construction attire notre attention. La fuste est l'appellation traditionnelle dans les Alpes du Sud, dans le Queyras en particulier, qui désigne des constructions faites de "fûts" ou troncs d'arbres (de 20 à 45cm de diamètre) écorcés, ajustés empilés les uns sur les autres et entrecroisés aux angles. Ce sont des maisons  non seulement écologiques mais aussi confortables. La technique n'a été réintroduite en France que récemment mais elle a toujours été pratiquée dans les pays de l'Europe du nord, au Canada et een Alaska.

La Commune s'étend dans une zone champêtre avec de nombreux animaux domestiques, des pâturages déjà verdoyants de sympathiques sentiers pour randonner et même une halte pique-nique avvec point d'eau. Décidément on sait vivre et accueillir dans notre région.

Nous arrivons à la table d'orientation de Mons située à 836 m d'altitude d'où on peut jouir d'un panorama à 360°, entre autres sur Aurec-sur-Loire et les côtes de la Loire. Pour expliquer le paysage et éviter que le promeneur soit obligé de monter sur une table d'orientation ronde, il y a donc 2 tables en demi lune comme le montre les photos ci-dessous.

Nous empruntons la route qui descend à Bellevue (un panneau de signalisation indique une pente à 20 %), route qu'il a fallu remonter car le sentier prévu sur le tracé de carte n'était pas défriché. A noter que Jean-Baptiste, peut-être pressé de rentrer, s'est distingué en étant largement en tête durant toute cette grimpette.

Le dernier hameau que nous traversons est Château le Bois où la chapelle est en cours de réfection.

Pour finir sur une note printanière Mireille nous offre deux photos de fleurs (crocus et jonquille) ... malgré le temps incertain, la nature s'éveille ...

Photos Mireille, Michel Chantre      Texte  : presque fidèle à celui de Mireille

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