
RECITS
- PHOTOS
: Randonnées Weekend 2011 - 2013
ou
Retour Historique
BEDOIN 04/2011
;
MARCHE DE
NUIT 05/2011 ;
PIERRE
BAZANNE 05/2011 ;
LES ARAVIS
06/2011 ;
TERNAY
10/2011
SORBIERS
02/2012 ;
VOGÜE 03/2012 ;
La
Bourboule - Sancy 09/2012
La Jacine
04/2013
LA
JACINE BOUVANTE LE HAUT samedi 13 et dimanche
14 avril 2013
8 h parking de la salle
polyvalente 57 marcheurs sont prêts à partir à la
Jacine …. 7 h c’était un peu tôt Simone avant
l’heure ce n’est pas l’heure ! Soyons optimiste La
météo nous promet un beau weekend. Un court arrêt
sur l’autoroute pour une collation gourmande, les
gâteaux maisons nous régalent.

Saint Nazaire en Royans sous un
beau ciel bleu une petite visite s’impose. Le
village de Saint Nazaire en Royans, anciennement
fortifié, s´élève en amphithéâtre du Pont de la
Bourne jusqu´aux vestiges de la tour Delphinale. En
1225, on trouve pour la première fois le nom de
Saint Nazaire. La légende prétend qu´un religieux du
nom de Nazarum, passé dans la région conféra aux
eaux de la Bourne le pouvoir d´écarter les
épidémies. Son aqueduc a été réalisé de 1876 à 1878
par 600 ouvriers. Depuis notre passage le pont s’est
enrichi d’un nouveau personnage. Philippe a bien
voulu servir de modèle !

Arrivés à la Jacine,
centre de vacances à Bouvante le Haut, nous pique
niquons sous un soleil printanier face à un panorama
grandiose.

Les chambres réparties, il est
temps de partir en randonnée. Après avoir étudié la
carte nos guides sont prêts. Dominique compte ses
marcheurs, mettez vous par deux …non là vous êtes
trois … je recommence … le compte est bon c’est
parti.

Un chemin dominé par un magnifique
paysage, on passe près du barrage de Bouvante lac
artificiel EDF. Une biquette sur sa plateforme se
mire dans l’eau turquoise de son mirador.

La Jacine est derrière nous, les
sommets sont encore enneigés. Une petite pause
fredonnons « il fait beau, il fait chaud, la vie
coule comme une chanson. Il fait bleu, Il fait du
soleil au fond des yeux »….il va falloir affûter nos
gambettes un rude dénivelé nous attend !
Parcours semé d’embuches, on
enjambe, passe sur les troncs, dessus, dessous, de
face de dos, on se cale en attendant les suivants …
la montée n’est pas finie.

Ouf, nous voici sur le crêt une
belle bâtisse en bois, Croisement Bouvante le Haut -
Bouvante le bas, c’est là où se sépare le chemin des
marcheurs et des randonneurs. Salut les copains, une
photo de groupe au cas où ne vous reverrait pas !
Pause pomme, les randonneurs
admirent le paysage tandis que les photographes les
capturent dans la boîte à coucou !

Pause pomme dans la vallée pour
les grands marcheurs

Le Col de la Croix altitude 592 m,
retour à la Jacine pour « les randonneurs »

Pierres percées, fenêtres et
murailles à ciel ouvert

Tous les marcheurs sont rentrés à
bon port. Il est temps de souper, clairon et
roulement de tambour, nous écoutons l’histoire de la
Jacine. Et nous fêtons une nouvelle retraitée
Suzanne qui devient marcheuse à plein temps.

Le col de la Bataille encore
enneigé oblige nos guides à modifier les
itinéraires. Dimanche matin, le soleil éclaire les
sommets les grands marcheurs sont prêts à livrer
leur première bataille. Un rucher, chut… les
abeilles dorment encore.

Les randonneurs s’en
vont tranquillement à travers pré pour attaquer le
premier dénivelé. Le Roc du Toulau les toise avec
majesté. Pas moyen de reculer, les derniers passés,
Renée ferme la barrière !
Le dénivelé franchi
c’est l’heure du casse croûte, chacun s’installe. On
pense aux marcheurs qui crapahutent en face. Simone
a un petit coup de mou qui persiste.

Invisibles aux yeux
des randonneurs, les grands marcheurs ont joué les
passes murailles

Pour eux aussi c’est
l’heure de ...l’apéro avec vue sur montagnes et
vallée. Il faut bien reprendre des forces, le plus
dur reste à faire !

Quelques plaques de
neige, une crevasse, une route enneigée, rien ne les
arrête. Fredonnons « il fait beau, il fait chaud, la
vie coule comme une chanson. Il fait bleu, Il fait
du soleil au fond des yeux ». Le col de la bataille
1313 m est passé, non sans une petite glissage pour
Gabrielle !

Les yeux au ciel les randonneurs
décolleraient bien en fusée, certains emprunteraient
volontiers un vélo, d’autres descendraient au fil de
l’eau, Simone quant à elle rentrerait volontiers en
voiture de pompiers. Aucun réseau ne passant dans ce
secteur, une seule possibilité passage au village de
Bouvante le Haut pour un retour à la Jacine.
Bouvante est une commune du parc
naturel régional du Vercors situé dans le
département de la Drôme. Ses habitants sont appelés
les Bovantiens et Bovantiennes. Elle s'étend sur
88,9 km² et compte 252 habitants. Située à 488
mètres d'altitude, La Rivière La Lyonne, le Ruisseau
de Brudour, le Ruisseau de l'Infernet sont les
principaux cours d'eau qui traversent la commune de
Bouvante. Le lac de Bouvante et le village de
Bouvante-le-haut se trouvent, au sud du col de la
Croix, dans un large vallon nord-sud qui semble
prolonger vers le sud le val de Bouvante-le-Bas. Les
randonneurs sont rentrés, bagages bouclés, ils se
prélassent en attendant les grands marcheurs qui
arrivent avec des bouquets de jonquilles
Au revoir la Jacine, après un
petit bilan médical, nous récupérons Simone à
Romans. Nous sommes rassurés, ce n’est qu’un grand
coup de soleil. Au dessus des montagnes, le ciel
bleu avait épinglé un beau soleil qui tapait fort.
Promis juré, Simone mettra sa casquette lors d’une
prochaine escapade. Quant à nos guides
organisateurs, Chapeau, nous avons passé un super
weekend.
Photos Chantal - Jeannot Bachelard - Pierrot
Bouchet - Dominique Colson - Florent Elsen - Alain
Forest - Michel Perrier
haut de page
LA
BOURBOULE - LE SANCY samedi 29 et dimanche 30 septembre 2012
C’est par un début de journée
pluvieuse et encore endormis que les randonneurs
prennent la direction du Puy de Sancy. Halte sur une
aire d’autoroute, Il pleut toujours, nous prenons le
temps de déguster petits croissants et café. On
espère l’éclaircie, après la pluie vient le soleil !
Vaincue par un tel optimiste, la pluie cessera à la
descente du car laissant place à l’humidité et au
froid. 1268m d’altitude, c’est l’heure du déjeuner «
sur l’herbe ». Deux randonneuses ont trouvé une
place de choix dans le CAP de Guery. Quelques
gouttes de pluie, on mange vite. On se change
rapidement à l’abri des regards... Enfin presque !

Il est temps de se mettre en
route, les groupes se forment en fonction des
possibilités de chacun grand ou petit parcours.
Malgré une timide éclaircie, le lac de Guéry est
noyé dans le brouillard. Encadrés par Pierrot et
Jean Marc les randonneurs du petit parcours se
fondent dans le paysage.

Aidé par leurs guides les
marcheurs jouent à saute barrière ! On patauge, on
resquille, on monte devant on repasse derrière, on
fait la maline.

Accompagnés par Dominique et
Florent, les marcheurs du grand parcours
démarrent…au hasard. Une haie d’honneur, pour ceux,
qui partis trop vite ont du rebrousser chemin. Rien
ne sert de courir ! Premier dénivelé, première
difficulté. De 1268 m, les marcheurs grimpent sans
visibilité ou presque jusqu’à Puy Gros 1485 m

Dans le brouillard, les marcheurs
du petit parcours aperçoivent une cascade dans un
flou qui n’est pas artistique. Passe à Puits May
pour arriver, toujours dans le brouillard, au col de
St Laurent à 1450 m. Chacun sur leur itinéraire les
groupes rejoignent la Banne d’Orbanche à 1512 m.
Apparue il y a environ 2 millions d'années,
surplombant La Bourboule et la vallée de la
Dordogne, la Banne d'Ordanche est la Mecque de
l'aéromodélisme. On y pratique le vol de planeur en
modèle réduit, le premier vol a eu lieu en 1931. Le
brouillard s’épaissit, le vent se renforce et
devient froid. Les marcheurs du grand parcours
devinent des à-pics et restent prudents d’autant que
des silhouettes fantasmagoriques se dressent dans le
paysage. Les marcheurs du petit parcours bien
encapuchonnés montent eux aussi dans le brouillard
qui se dissipe peu à peu.

Sur les plateaux d’estive, le
petit parcours bénéficie d’une belle éclaircie.
Pause pomme, la bonne humeur revient. De fin mai aux
premières neige un troupeau d’environ 1200 brebis
parcourt les vastes estives de la Banne d’Orbanche.
Appartenant à plusieurs propriétaires, le troupeau
est confié à la garde d’un berger commun.

En attendant le grand parcours,
des randonneurs du petit parcours descendent au lac
du Pré Cohadon.

Le car attend les deux groupes… on
a changé de chauffeur ! En route pour le gîte de la
Roche aux Fées. On arrive chargé de bagages, armé
contre le mauvais temps. Demain sera un autre jour,
le randonneur est têtu et ne s’avoue jamais vaincu.
Les chambres réparties tout le monde est casé ou
presque… on va y arriver !

Les lits faits, la douche prise
les randonneurs sont prêts pour le débriefing.
Rendez vous chambre 25 où il règne déjà une belle
ambiance. Bilan de la journée et une petite prise de
vitamine, il faut bien se refaire une santé pour le
lendemain !

Il est l’heure du repas, un bon
coq au vin auvergnat préparé par un cuisinier
bourguignon va régaler les marcheurs. Mais
auparavant si on prenait un petit kir. Vlà le
dessert y’a d’la joie, l’omelette norvégienne
arrive.

Dimanche, la météo semble plus
clémente. Les marcheurs du grand parcours s’arrêtent
à la station du Mont Dore, au pied du Puy de Sancy.
Magnifique et impressionnant, il nous toise de toute
sa hauteur…et nous attend ! Six randonneurs vont y
accéder par la piste de ski et huit par le
téléphérique, une première pour certaines
marcheuses. Les sources de la Dordogne ne sont pas
visibles. La Dore et la Dogne, se réunissent pour
former une seule rivière : la Dordogne. Elle passe
au Mont-Dore et à La Bourboule puis parcourt 475 km
avant de rejoindre la Garonne au Bec d'Ambès.
Passage au Puy de la Cocadogne 1785 m surplombant
côté Est la vallée de Chaudefour et la Dent de la
Rancune. Que nous ne verrons pas !...sans rancune
donc ! Sur l’autre versant quelques belles
éclaircies nous permettent de découvrir les vallées
du Mont Dore et le Sancy.

Les marcheurs du petit parcours
prennent un sentier près de la ferme de l’Angle. Le
vent souffle fort, le brouillard s’accroche au sommet
du Sancy. Au fond de la vallée, on aperçoit la Bourboule à 852m d'altitude, station thermale,
spécialisée dans le traitement des voies
respiratoires et des allergies, qui s'étend le long
des rives de la Dordogne enjambée par une douzaine
de ponts. Un arrêt pour admirer la grande cascade
l'une des plus hautes d'Auvergne de par ses chutes
d'une trentaine de mètres. Elle prend sa source sur
le plateau de la Durbise à 1450m d'altitude et
enjambe une succession d'anciennes coulées de lave
d'une quarantaine de mètres d'épaisseur. Passage au
creux des Bœufs, un arrêt photo sur un petit pont de
bois avec le traditionnel lancé de pierres. Pierrot
n’est pas là mais son suppléant assure ! Emmenés par
Jean Marc les marcheurs arrivent au Col de la Croix
St Robert où se déroule une compétition de planche à
roulette. Le brouillard s’accroche au Puy de l’Angle
dans la vallée on aperçoit le lac Chambon. Lac de
barrage volcanique formé à la suite de l´éruption du
Volcan du Tartaret, 60 ha mais peu profond 6 m
maximum et parsemé d´îlots.

Partie de cache-cache grandeur
nature, le vent joue avec les nappes de brouillard
qui s’étirent dans la vallée et enrubannent les
sommets d’un flou artistique.

Col du Cuzeau, les deux groupes se
retrouvent pour le pique nique. Personne ne s’est
égaré ! Le vent bouscule le brouillard qui brouille
le paysage. Les marcheurs essaient de s’abriter dans
une combe. Le ravitaillement sera rapide. On replie
la nappe, On reprend sac et bâton. Les marcheurs
continuent chacun leur circuit.

Les marcheurs du petit parcours
commencent leur ascension. Le brouillard s’est
dissipé. Sur le plateau de Durbise ils sont
émerveillés par la beauté du paysage des deux
vallées et la découverte du Sancy qui se profile.



Les marcheurs du grand parcours
s’en vont en direction du Puy de l’Angle 1738 m,
principale difficulté de la journée. Un regard sur
le Sancy maintenant bien découvert. Le ciel est
dégagé on peut admirer les vallées. Découvrir enfin
de plus haut les lacs de Guéry et Chambon. Les voici
au sommet du Puy de l’Angle, un moment à
immortaliser pour le groupe. Liliane à force de
volonté a réussi « son ascension ». Elle peut être
fière d’y être arrivée.

Toujours sur les chemins de crête,
le groupe a franchi les sommets du Puy de Barbier
1702m, Puy de Monne 1672 m et Puy de la Tâche d’où
s’élancent quelques ailes. Au fond à gauche, on
aperçoit le lac de Guéry, à droite le lac Chambon. Après avoir cheminé, grimpé, sué, une
belle embellie dévoile aux marcheurs du petit
parcours la vallée du Mont Dore et le Sancy,
impressionnant, dans toute sa splendeur. Le puy de
Sancy 1886 m est le point culminant des monts Dore.
Son éruption s'est faite sur le versant sud entre 1
et 0,2 millions d’années, période à l'issue de
laquelle il atteignit vraisemblablement l'altitude
de 2 500 mètres. Des éboulements massifs se sont
produits par la suite puis l'érosion, en particulier
glaciaire, a fini de façonner son sommet.

Les plus courageux vont en faire
l’ascension. Il faut faire vite le brouillard
revient. Bien installés paressant ou jouant à la
belote les autres marcheurs attendent leur retour.

Regroupés, tous redescendront par
les pistes de ski pour arriver à la station du Mont
dore où le car les emmènent retrouver les marcheurs
du grand parcours qui reviennent par le GR4E
jusqu’au lieu dit « Prends-toi-garde » en passant
par la cascade de Queureuilh à 1030 M d’altitude. De
plus de 30m de haut, elle déverse l'eau du ruisseau
de l'Enfer. Mais il est temps de laisser l’Auvergne
pour la Loire. Oublions une météo maussade, pour ne
garder que le souvenir des beaux paysages de notre
randonnée et les bons moments passés tous ensemble.

Bêtisier

Repérage
Nous vaillants guides
s'étaient dévoués pour le repèrage, mais eux ils
avaient eu du soleil et de la chaleur ..............

Texte Chantal
Photos - Chantal - Dominique - Florent - Jeannot -
Pierrot
PONT D'ARC - VOGÜE ARDECHE "ENSOLEILLEE" samedi 17 et
dimanche18 mars 2012
Le repérage a été
réalisé par nos 4
mousquetaires qui étaient 5
comme les 3
d'Alexandre Dumas étaient 4,
vous suivez ? Mais si comptez bien et ne le répétez
pas le soir ils ont joué au 4
2 1.
Pierrot a essayé de
se forger une nouvelle réputation et leur balisage
est certes artistique mais aussi destructeur

Départ sous un ciel
sympathique qui donne le sourire et petit déjeuner à
Montélimar où nos randonneurs laissent leurs nougats
au repos, mais affutent leur langue avant de
remonter dans le car.

Le pique-nique à midi
fut placé sous les hospices de L'idole
(prononciation allemande) des Pierrots

En début d'après midi
commencent les choses sérieuses, après conciliabule,
répartition des rôles et point géographique, avec
le départ du grand circuit

Départ sans problème
car on commence par admirer le paysage d'en
haut et prendre le chemin en descente jusqu'à
l'Ardèche.

Arrivée au bord de
l'Ardèche près de l'arche un temps de repos pour
trois grâces pour admirer le site. Mais qui
précisera à Henry qu'il ne faut pas bombarder Fanny
mais l'embrasser. N'ont-ils pas fier allure nos
randonneurs qui vont repartir pour continuer leur
circuits sur l'autre rive.

Mais évidemment pour
rentre quand on a raclé les gorges il faut monter et
même si on admire le paysage en grimpant une pose
donne toujours le sourire

Ceux qui ont opté
pour le petit circuit
commencent par descendre
en car jusqu'au bord de l'Ardèche et, les mains dans
les poches pour certains, vont admirer l'Arche et en
profite pour échanger leurs impressions après la
photo de touristes.

Mais ils n'ont rien
perdus pour attendre, avec un sentier long, montant,
malaisé, éreintant et suant. Heureusement on peut
parfois admirer le paysage en montant ou jouer à
cache cache derrière une arche miniature.
Une fois le sommet
atteint la vue est impressionnante même si l'horizon
est brumeux. Mais que voit-on en bas sur la plage ?
Une longue procession de randonneurs.

Le retour et
l'arrivée furent l'occasion de voir se dessiner des
sourires de soulagement, de contournements prudents
de marches et de figures libres de la danse des
bâtons. Tout ce monde a rejoint sans problème le
bus.

Après le pot de
bienvenue, la soirée placée sous la protection de
saint pierrot (je l'ai dit qu'il s'était forgé une
nouvelle réputation) fut l'occasion d'agapes
(raisonnables) et de longues discussions.

N'ont-ils pas tous de
bonnes mines réjouies de se retrouver entre amis
après une si belle ballade. Vivement demain qu'on
recommence

Un peu de sérieux
maintenant pour le débriefing, c'est sérieux même si
Jean Marie est d'humeur facétieuse. Tous (ou
presque, mais on ne dénoncera personne la photo est
antérieure au speech du président) sont attentifs,
car Dominique annonce le programme du lendemain
........ enfin si le temps le permet !

Avant le petit
déjeuner un œil sur la météo qui annonce une
brumisation gratuite pour tous (c'est excellent pour
le visage). Cela ouvre l'appétit pour un petit
déjeuner chaud et consistant. Puis rassemblement sur
la place où les platanes évitent de faire de l'ombre
pour un concours d'élégance .........

Le départ du Grand
Circuit (ou presque on verra par la suite) a lieu
effectivement sous la pluie, mais " pluie du matin
n'arrête pas Randonneur de 2 Rives sur les chemins"
(pensez ils ont l'habitude de croiser l'eau sur le
pont). Cela désoriente un peu les GPS et les adeptes
du petit circuit ont pu prendre en photo ceux du
grand ......................... qui rebroussaient
chemin pour se remettre dans le bon sens

La suite de la balade
fut moins mouillée, il fut même possible
d'apercevoir le paysage et inutile de s'abriter dans
les grottes artificielles. L'arrivée à midi à La
Beaume s'est faite sans capuche mais certains
demeure inquiets pour la suite et décision fut prise
d'écourter le circuit et de ne pas reprendre la
marche après le repas de midi.

Pour les adeptes du
Petit Circuit,
ce ne fut pas un chemin de croix mais le randonneur
anonyme respecta un instant de supplique pour que la
pluie cesse mais "que votre volonté soit faite".
R
Regardez bien les
dernières photos la supplique a été efficace car les
capuches sont enlevées et certain a même besoin de
mouiller son mouchoir.

C'est une tradition
les photographes R2R sont à l'affut des bizarreries
tout au long des chemins : animaux, sculptures et
assemblages, voitures à un ou deux chevaux, concept
car préparé pour le prochain salon du 4X4

Et quand tout le
monde fut rassemblé à La Beaume une démonstration de
culturisme fut organisée pour le plus grand plaisir
de tous et surtout des photographes. Mais c'est
vrais qu'ils ont fière allure les
Retraités
des 2 Radées.

L'après midi fut
consacré à la visite de Vogüé
Cf. Wikipédia : "Le
village de Vogüé est classé comme étant un village
de caractère et une station verte. Le château de
Vogüé domine le village situé au bord de l'Ardèche.
C'est un château fort médiéval réaménagé au XVIIe
siècle. Il présente des salles historiques, une
chapelle romane, des sous ainsi qu'un cachot et un
jardin suspendu. C'est un monument historique privé
et tout en étant un lieu chargé d'histoire, il
accueille également dans ses murs des expositions
temporaires d'arts plastiques. La Tourasse, au
centre du Village est l'une des premières demeures
des Vogüé. La rue des puces, une des rues les plus
étroite de France. L'église Sainte-Marie succède à
un prieuré bénédictin datant vraisemblablement du
XIe siècle. La paroisse relevait des bénédictins
jusqu'à la Révolution. Le prieuré et l'église furent
fortement éprouvés pendant les guerres de religion.
Une pierre en façade porte la date de 1691, année où
l'église fut entièrement reconstruite par les
villageois avec l'aide de leur seigneur qui a apposé
son blason sur la face sud du clocher. Le bâtiment
consiste en une nef fermée par un chœur de même
largeur où se trouve le caveau des seigneurs de
Vogüé."
Quoi de mieux qu'une
visite culturelle pour ne pas marcher idiot.

Secs et contents
n'ont-ils pas l'air de vrai touristes, vous savez
ceux qui, selon une définition célèbre, font des
milliers de kilomètres pour se faire prendre en
photo
..................................................devant
un car.

Alors bravo à tous
les participants, merci aux organisateurs,
préparateurs et guides. Et rendez-vous en septembre
pour un moment aussi convivial, mais avec le soleil
en plus.
Texte Guy d'après les informations de
Dominique et Michel Peyron, photos : Dominique,
Florent, Guy Badel, Jean Bachelard, les Michel
Chantre & Peyron, Roger Manus (je n'ai jamais eu
autant de choix pour les illustrations)
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Chez nos voisins et amis de Sorbiers Dimanche
19 février 2012
Marche de Sorbiers
organisée par Philippe le 1er guide du Club des 2
Rives .
7 Randonneurs des 2
Rives et une amie au départ pour encourager nos amis
Sorbérans.
 
deux petites au pied
d'un grand (et gros)

Belle balade ,
malgré la 'gadoue ' dans les sous bois encore
enneigés , verglacés

Avec quelques menhirs modernes
remarquables qui valent presque les alignements de
Carnac

A mi-parcours le
groupe se divise en 2 , l'un pour terminer les 14,5
kms et l'autre 19 kms , et se retrouver à l'arrivée
pour le traditionnel plat chaud 'saucisses /
lentilles ' .


800 marcheurs ont pu
l'apprécier. Belle affluence pour le ' Club des
petits Clous ' de 24 licenciés qui étaient venus
participer à notre marche de novembre 2011
Texte d'après les indications de
Jeannot B
Photos Jeannot B
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Barrage
de Ternay Dimanche
09 16
octobre 2011
Le 09 la météo avait
décidée de nous faire annuler la sortie, mais grâce
à la bonne volonté de deux nouveaux guides (d'un
jour ?) c'est finalement un groupe de 12 marcheurs
qui partirent le 16 sur le parcours prévu.
7 dames et
...............................................................5
messieurs

( non 6 car Mr Soleil
était avec nous ) pour passer du Bon Temps
en faisant le tour du lac .

Le barrage a été
édifié en 1867. Depuis il sert de retenue d’eau
potable pour la ville d’Annonay toute proche. Niché
dans un écrin de verdure, ce plan d’eau de 32
hectares pour 35 m de profondeur maximum est entouré
de nombreux cèdres du Liban et de quelques séquoias.

A 13 h pause déjeuner
,
rien ne manquait
(apéro , cabernay d'Anjou , Cahors , café , pousse
café.......)

14 h c'est reparti ,
sentiers , sous bois , traversée de hameaux hors du
temps , puis arrêt 'pomme ' , avant de rejoindre
Eteyze ce village très accueillant .
 
Pas de variante , pas
de perte , 12 ( 13 ) à l'arrivée grâce à nos supers
guides du jour Jo, Michel et Alain.
Merci à Suzanne pour le compte rendu et à Jeannot,
Jo et Michel pour les photos
haut de page
Les Aravis
Samedi 18 et dimanche 19 juin 2011
Rien n’aurait pu
décourager les randonneurs des 2 rives ce 18 juin
2011, surtout pas une météo pessimiste. Sept heures
pétantes dans le car, nous voilà partis pour saint
Jean de Sixt en Savoie.
12 heures
arrivée au village vacances sous une pluie battante
Repas de midi,
piquenique pris à l’abri dans une salle gentiment
ouverte pour nous ; la joie et la convivialité
régnaient malgré le temps maussade

13h30 rando ou
pas rando ? Les plus téméraires n’hésitent pas pour
enfiler la tenue de pluie,
et heureusement car cette
dernière cessa pour laisser place à un paysage
sublime ; merci à nos guides pour cette superbe
balade organisé en deux groupes; enjamber les
torrents, en s’entraidant,

un peu de boue certes,
mais un beau panorama vu de la croix de Colomban
(1691m) nous attendait ;


ensuite arrivés au relais
télé ce fut la vue surplombant le village de la Cluzat ; tout ça valait bien cette grimpette.

Ceux restés
l’après midi à l’hôtel ont eu des regrets de ne pas
être venus. Les émotions ont été partagées le soir
au repas, très copieux et apprécié
Une pluie
battante pour le lever le dimanche matin, un petit
air frisquet, et il a même neigé sur quelques
sommets environnants.

Mais après le copieux petit
déjeuner (sous forme de buffet) le soleil est
revenu.
Au programme, à
nouveau deux itinéraires :
« un dur » car
le groupe a démarré du village de la Cluzat avec de
suite 700m de dénivelé même sous forme de marches
d’escalier tant la pente fut raide
« un plus doux »
le car a laissé le deuxième groupe au petit lac. La
marche a évoluée sur terrain presque plat jusqu’au
point de jonction avec le premier groupe
Là, ce fut de la
montée raide en lacets

jusqu’au sommet la tête du Danay à 1720m ;


quel panorama grandiose ou le
village du Grand Mornant fut visible tout petit
tapis au creux de la vallée ; de l’autre se
dessinait le col des Aravis, où s’il n’y avait pas
eu les nuages, nous aurions pu apercevoir le Mont
Blanc.
Nous avons
piqueniqué à coté du petit lac, récupération de nos
glacières restées dans le car
Deux itinéraires
pour le retour, un jusqu’au village de la Cluzat, et
l’autre jusqu’au village du Grand Mornant ; des
descentes assez raides ou il y a eu quelques
glissades à cause du chemin boueux

C’est vers la
fin de l’après midi que le car ayant récupéré tout
le monde a repris la route de Saint Rambert.
Pour le fun deux photos
supplémentaires :

Texte :
Josiane
Photos : Josiane & Michel D, Jo W
haut de page
Dimanche 15 mai 2011
Baracuchet - La Grande Pierre Bazanne
Longueur
15 Km Dénivelé
210 m
Quatorze au départ
...
La Grande Pierre Bazanne et la folie
des boussoles. Située au sommet des Monts du Forez
(Altitude 1394m), cette pierre volcanique se dresse
au milieu des landes offre un spectacle surprenant
(peut-être un "mont brisé", en orgues volcaniques).
.JPG)
Pierrot et Dominique
en prennent de la hauteur.
.JPG)
Le président ouvre le
bal après un diner bien arrosé et quelques bonnes
blagues. Twist et madison pour Joëlle et Marie
claude.
.JPG)
.JPG)
Une belle journée
avec une super ambiance dans un cadre resté intact.
Une pensée pour René et merci Bernard pour la
Jasserie. ...
seize a l'arrivée.
.JPG)
Texte J. B.
Photos : J. B. & Pierre B
haut de page
MARCHE DE
NUIT
Longueur 8 Km
Samedi 07 mai
2011
Ce 7 mai, le ciel se
couvre doucement et une petite fraicheur s’installe.
Le vent s’invite à notre sortie nocturne.
Malgré tout, 18 oiseaux de nuit se retrouvent à la
jasserie du Pilat, notre point de départ .
Abrité au mieux, un
pique nique « chaleureux » nous permet d’échanger
nos produits régionaux,….familiaux et nos
plaisanteries.
Après vérification
des équipements (gilets fluos, lampes frontales,…)
les lucioles partent pour un circuit d’environ 8
kms.
Une longue chenille
fluorescente s’étire dans la nuit. Passage au point
culminant du massif du Pilat (1370m). L’émetteur du
Crêt l'Oeillon voisine aujourd’hui la croix érigée
en 1867, à 1364 m d’altitude.
Les frontières de
quatre communes se rejoignent sur ce point précis :
Pélussin, Roisey, Véranne et Doizieu. Leurs
habitants eurent à coeur de se relayer, et de
fournir des attelages de boeufs, pour charrier la
croix monumentale et l’ériger au sommet de la
montagne.
Depuis la table
d’orientation un panoramique s’étale sur la vallée
du Rhône éclairée par des milliers de lumières. De
jour, nous aurions pu apercevoir les Alpes ! Le
retour à la jasserie se fait dans la bonne humeur et
sans encombre. Pour certains, c’était une première,
ils sont prêts à revenir….marcher sous la lune.
Merci à Florent et
aux 2 Pierrots d’avoir choisi cette balade. Nous en
redemandons.
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Texte Dominique et Photos Pierre B
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BEDOIN
Samedi 09 et dimanche 10 avril 2011
Si notre randonnée Bedoin
Montmirail vous était contée, nos gambettes vous
diraient combien elles ont arpenté. Certaines plus
sensibles à la nature, de rouge se sont fait tatouer

Sur les parcours quelques uns ont
parfois râlé dans les dénivelés, d’autres se sont
surpassés. Mais, nous avons tous marché pour le
plaisir de découvrir ce beau paysage de Provence
Mais commençons le récit par notre
voyage en car passé dans la bonne humeur et les
chansons. Dirigés, par l’un de nos Pierrot qui
n’avait pas oublié son livre de chant, ni son doudou
vert aux poils hérissés, nous avons chanté à pleine
voix. Premier arrêt Valence, nous avons dégusté la
brioche aux pralines de Jean Paul un vrai délice.
Merci aussi à l’intendance pour les boissons
chaudes. Une courte visite à Vaison la Romaine avant
notre arrivée au Florians à Bedoin. Quelques photos,
pas le temps de flâner au marché ! Après un pique
nique dans le parc du VVF

Nous avons rendez vous avec notre
guide local qui nous emmène sur les sentiers au pied
du Mont Ventoux

Notre guide nous fait découvrir les
cheminées de fée ou demoiselles coiffées habillées
d’ocre rouge, décor insolite, pour notre photo de
groupe.


Nous grimpons sur des chemins caillouteux, Il fait chaud l’ombre est
rare. Pierrot toujours farceur nous asperge avec son
pistolet à eau. Puis, le groupe se scinde en deux.
Nous nous retrouverons plus tard au village de
Sainte Colombe où l’eau de la fontaine rafraichira
le deuxième groupe assoiffé.
De l’eau …trop
froide !

Un puits sans seau !

L’après midi s’étire, notre guide
a peut être surestimé nos capacités, quelques
kilomètres supplémentaires, la fatigue se fait
sentir. Nous avons hâte de rentrer au VVF où nous
attendent des chambres coquettes et surtout une
bonne douche. Nous nous retrouvons au restaurant,
Pierrot nous attend, en star, portant lunettes en
clé de sol et tenant son doudou en laisse. Le repas
du marcheur : soupe provençale, spaghettis
bolognaise, pâtes crème lardons est le bienvenu pour
nous remettre en forme et nous préparer à la
randonnée du lendemain. Dimanche matin, après un
copieux petit déjeuner tout le monde est prêt à
reprendre le car qui nous laisse au Village d
Suzette pour une randonnée autour des dentelles de
Montmirail.

Montmirail vient du latin mons
mirabilis qui signifie « mont ou montagne admirable
». Les dentelles forment un grand arc montagneux qui
s'étend de l'Ouvèze au mont Ventoux. Dans la plaine,
une route parcourt les dentelles : la route des
vins, vignobles réputés des Côtes du Rhône sud.
Majestueuse, imposante, la barrière des dentelles de
Montmirail découpe aujourd’hui ses crêtes dans le
ciel bleu. Deux groupes se forment, l’un encadré par
Dominique et les Pierrot, l’autre par Florent et
Jean Marc. Nous nous retrouverons tous pour le pique
nique dans la propriété d’un vigneron qui nous offre
l’hospitalité.

Photo de groupe avant le départ,
qui cherche ses bâtons, son chapeau ! On se sépare à
nouveau pour se retrouver à l’arrivée à Suzette. A
l’embranchement d’un chemin, nous rencontrons un
nouveau guide «Le Chien randonneur qui nous
accompagne jusqu’à la Chapelle St Christophe. Les
plus courageux grimpent le sentier qui y conduit.

Photo humoristique sous la
pancarte de la porte Nous laissons le deuxième
groupe qui arrive. Le chien randonneur rebrousse
chemin pour retrouver sa maison. Nous continuons sur
une petite route au milieu des vignes
Pour arriver au village de Lafarre,
où nous nous rafraichissons à la fontaine et
remplissons nos bouteilles. Florent et Jean Marc
étudient leur carte pour trouver le bon chemin … un
bon raidillon nous attend,
Sous l’effort le pas est lourd et
dérape parfois sur la pierraille. On pousse sur les
bâtons, un peu d’ombre, on souffle un peu. Le soleil
tape fort on rentre dans les sous bois « pause pomme
»…Puis demi tour, ce n’est pas le bon chemin. On
retrouve le croisement « de la bouteille » pour
repartir dans la bonne direction. Derniers
kilomètres sur une petite route escarpée. Le premier
groupe n’est pas loin mais pas question de se faire
rattraper ! La pancarte annonce le village de
Suzette…
Nous envahissons le seul bar en
terrasse ou chacun cherche une place entre ombre et
soleil. Le garçon est débordé par les commandes. Le
patron a du être content de sa recette. Un dernier
regard sur le Ventoux

La randonnée a été belle. Nous
retrouvons le car, la fatigue se fait sentir, les
têtes dodelinent et le silence s’installe. Nous
passons les villages aux vins réputés Gigondas,
Qeyranne, vaqueyras direction Bollène.
St Rambert d’Albon nous nous
installons sur l’aire de pique nique. Avec grande
convivialité nous partageons le sucré salé, l’apéro,
le bon vin et la verveine maison pour garder le
souvenir d’une belle escapade. Nous ne pouvons que
remercier nos guides Dominique, Florent, Jean Marc,
Les Pierrot toujours attentifs aux uns et aux
autres, soucieux de nous amener à bon port en
attendant une prochaine randonnée.
Texte Chantal, Photo Chantal, Jeannot, Jo,
les Michel, les Pierrots
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