Accueil

RECITS - PHOTOS : Randonnées Weekend 2011 - 2013  ou Retour Historique

BEDOIN 04/2011 ; MARCHE DE NUIT 05/2011 ; PIERRE BAZANNE 05/2011 ; LES ARAVIS 06/2011 ; TERNAY 10/2011

SORBIERS 02/2012 ; VOGÜE 03/2012 ; La Bourboule - Sancy 09/2012                 

La Jacine    04/2013   

    


 LA JACINE  BOUVANTE LE HAUT samedi 13 et dimanche 14 avril 2013

8 h parking de la salle polyvalente 57 marcheurs sont prêts à partir à la Jacine …. 7 h c’était un peu tôt Simone avant l’heure ce n’est pas l’heure ! Soyons optimiste La météo nous promet un beau weekend. Un court arrêt sur l’autoroute pour une collation gourmande, les gâteaux maisons nous régalent.

Saint Nazaire en Royans sous un beau ciel bleu une petite visite s’impose. Le village de Saint Nazaire en Royans, anciennement fortifié, s´élève en amphithéâtre du Pont de la Bourne jusqu´aux vestiges de la tour Delphinale. En 1225, on trouve pour la première fois le nom de Saint Nazaire. La légende prétend qu´un religieux du nom de Nazarum, passé dans la région conféra aux eaux de la Bourne le pouvoir d´écarter les épidémies. Son aqueduc a été réalisé de 1876 à 1878 par 600 ouvriers. Depuis notre passage le pont s’est enrichi d’un nouveau personnage. Philippe a bien voulu servir de modèle !

Arrivés à la Jacine, centre de vacances à Bouvante le Haut, nous pique niquons sous un soleil printanier face à un panorama grandiose.

Les chambres réparties, il est temps de partir en randonnée. Après avoir étudié la carte nos guides sont prêts. Dominique compte ses marcheurs, mettez vous par deux …non là vous êtes trois … je recommence … le compte est bon c’est parti.

Un chemin dominé par un magnifique paysage, on passe près du barrage de Bouvante lac artificiel EDF. Une biquette sur sa plateforme se mire dans l’eau turquoise de son mirador.

La Jacine est derrière nous, les sommets sont encore enneigés. Une petite pause fredonnons « il fait beau, il fait chaud, la vie coule comme une chanson. Il fait bleu, Il fait du soleil au fond des yeux »….il va falloir affûter nos gambettes un rude dénivelé nous attend !

Parcours semé d’embuches, on enjambe, passe sur les troncs, dessus, dessous, de face de dos, on se cale en attendant les suivants … la montée n’est pas finie.

Ouf, nous voici sur le crêt une belle bâtisse en bois, Croisement Bouvante le Haut - Bouvante le bas, c’est là où se sépare le chemin des marcheurs et des randonneurs. Salut les copains, une photo de groupe au cas où ne vous reverrait pas !

Pause pomme, les randonneurs admirent le paysage tandis que les photographes les capturent dans la boîte à coucou !

Pause pomme dans la vallée pour les grands marcheurs

Le Col de la Croix altitude 592 m, retour à la Jacine pour « les randonneurs »

Pierres percées, fenêtres et murailles à ciel ouvert

Tous les marcheurs sont rentrés à bon port. Il est temps de souper, clairon et roulement de tambour, nous écoutons l’histoire de la Jacine. Et nous fêtons une nouvelle retraitée Suzanne qui devient marcheuse à plein temps.

Le col de la Bataille encore enneigé oblige nos guides à modifier les itinéraires. Dimanche matin, le soleil éclaire les sommets les grands marcheurs sont prêts à livrer leur première bataille. Un rucher, chut… les abeilles dorment encore.

Les randonneurs s’en vont tranquillement à travers pré pour attaquer le premier dénivelé. Le Roc du Toulau les toise avec majesté. Pas moyen de reculer, les derniers passés, Renée ferme la barrière !

Le dénivelé franchi c’est l’heure du casse croûte, chacun s’installe. On pense aux marcheurs qui crapahutent en face. Simone a un petit coup de mou qui persiste.

Invisibles aux yeux des randonneurs, les grands marcheurs ont joué les passes murailles

Pour eux aussi c’est l’heure de ...l’apéro avec vue sur montagnes et vallée. Il faut bien reprendre des forces, le plus dur reste à faire !

Quelques plaques de neige, une crevasse, une route enneigée, rien ne les arrête. Fredonnons « il fait beau, il fait chaud, la vie coule comme une chanson. Il fait bleu, Il fait du soleil au fond des yeux ». Le col de la bataille 1313 m est passé, non sans une petite glissage pour Gabrielle !

 

Les yeux au ciel les randonneurs décolleraient bien en fusée, certains emprunteraient volontiers un vélo, d’autres descendraient au fil de l’eau, Simone quant à elle rentrerait volontiers en voiture de pompiers. Aucun réseau ne passant dans ce secteur, une seule possibilité passage au village de Bouvante le Haut pour un retour à la Jacine.

Bouvante est une commune du parc naturel régional du Vercors situé dans le département de la Drôme. Ses habitants sont appelés les Bovantiens et Bovantiennes. Elle s'étend sur 88,9 km² et compte 252 habitants. Située à 488 mètres d'altitude, La Rivière La Lyonne, le Ruisseau de Brudour, le Ruisseau de l'Infernet sont les principaux cours d'eau qui traversent la commune de Bouvante. Le lac de Bouvante et le village de Bouvante-le-haut se trouvent, au sud du col de la Croix, dans un large vallon nord-sud qui semble prolonger vers le sud le val de Bouvante-le-Bas. Les randonneurs sont rentrés, bagages bouclés, ils se prélassent en attendant les grands marcheurs qui arrivent avec des bouquets de jonquilles

Au revoir la Jacine, après un petit bilan médical, nous récupérons Simone à Romans. Nous sommes rassurés, ce n’est qu’un grand coup de soleil. Au dessus des montagnes, le ciel bleu avait épinglé un beau soleil qui tapait fort. Promis juré, Simone mettra sa casquette lors d’une prochaine escapade. Quant à nos guides organisateurs, Chapeau, nous avons passé un super weekend.

Photos Chantal - Jeannot Bachelard - Pierrot Bouchet - Dominique Colson - Florent Elsen - Alain Forest - Michel Perrier

  haut de page


 LA BOURBOULE - LE SANCY samedi 29 et dimanche 30 septembre 2012

C’est par un début de journée pluvieuse et encore endormis que les randonneurs prennent la direction du Puy de Sancy. Halte sur une aire d’autoroute, Il pleut toujours, nous prenons le temps de déguster petits croissants et café. On espère l’éclaircie, après la pluie vient le soleil ! Vaincue par un tel optimiste, la pluie cessera à la descente du car laissant place à l’humidité et au froid. 1268m d’altitude, c’est l’heure du déjeuner « sur l’herbe ». Deux randonneuses ont trouvé une place de choix dans le CAP de Guery. Quelques gouttes de pluie, on mange vite. On se change rapidement à l’abri des regards... Enfin presque !

Il est temps de se mettre en route, les groupes se forment en fonction des possibilités de chacun grand ou petit parcours. Malgré une timide éclaircie, le lac de Guéry est noyé dans le brouillard. Encadrés par Pierrot et Jean Marc les randonneurs du petit parcours se fondent dans le paysage.

Aidé par leurs guides les marcheurs jouent à saute barrière ! On patauge, on resquille, on monte devant on repasse derrière, on fait la maline.

Accompagnés par Dominique et Florent, les marcheurs du grand parcours démarrent…au hasard. Une haie d’honneur, pour ceux, qui partis trop vite ont du rebrousser chemin. Rien ne sert de courir ! Premier dénivelé, première difficulté. De 1268 m, les marcheurs grimpent sans visibilité ou presque jusqu’à Puy Gros 1485 m

Dans le brouillard, les marcheurs du petit parcours aperçoivent une cascade dans un flou qui n’est pas artistique. Passe à Puits May pour arriver, toujours dans le brouillard, au col de St Laurent à 1450 m. Chacun sur leur itinéraire les groupes rejoignent la Banne d’Orbanche à 1512 m. Apparue il y a environ 2 millions d'années, surplombant La Bourboule et la vallée de la Dordogne, la Banne d'Ordanche est la Mecque de l'aéromodélisme. On y pratique le vol de planeur en modèle réduit, le premier vol a eu lieu en 1931. Le brouillard s’épaissit, le vent se renforce et devient froid. Les marcheurs du grand parcours devinent des à-pics et restent prudents d’autant que des silhouettes fantasmagoriques se dressent dans le paysage. Les marcheurs du petit parcours bien encapuchonnés montent eux aussi dans le brouillard qui se dissipe peu à peu.

Sur les plateaux d’estive, le petit parcours bénéficie d’une belle éclaircie. Pause pomme, la bonne humeur revient. De fin mai aux premières neige un troupeau d’environ 1200 brebis parcourt les vastes estives de la Banne d’Orbanche. Appartenant à plusieurs propriétaires, le troupeau est confié à la garde d’un berger commun.

En attendant le grand parcours, des randonneurs du petit parcours descendent au lac du Pré Cohadon.

Le car attend les deux groupes… on a changé de chauffeur ! En route pour le gîte de la Roche aux Fées. On arrive chargé de bagages, armé contre le mauvais temps. Demain sera un autre jour, le randonneur est têtu et ne s’avoue jamais vaincu. Les chambres réparties tout le monde est casé ou presque… on va y arriver !

Les lits faits, la douche prise les randonneurs sont prêts pour le débriefing. Rendez vous chambre 25 où il règne déjà une belle ambiance. Bilan de la journée et une petite prise de vitamine, il faut bien se refaire une santé pour le lendemain !

Il est l’heure du repas, un bon coq au vin auvergnat préparé par un cuisinier bourguignon va régaler les marcheurs. Mais auparavant si on prenait un petit kir. Vlà le dessert y’a d’la joie, l’omelette norvégienne arrive.

Dimanche, la météo semble plus clémente. Les marcheurs du grand parcours s’arrêtent à la station du Mont Dore, au pied du Puy de Sancy. Magnifique et impressionnant, il nous toise de toute sa hauteur…et nous attend ! Six randonneurs vont y accéder par la piste de ski et huit par le téléphérique, une première pour certaines marcheuses. Les sources de la Dordogne ne sont pas visibles. La Dore et la Dogne, se réunissent pour former une seule rivière : la Dordogne. Elle passe au Mont-Dore et à La Bourboule puis parcourt 475 km avant de rejoindre la Garonne au Bec d'Ambès. Passage au Puy de la Cocadogne 1785 m surplombant côté Est la vallée de Chaudefour et la Dent de la Rancune. Que nous ne verrons pas !...sans rancune donc ! Sur l’autre versant quelques belles éclaircies nous permettent de découvrir les vallées du Mont Dore et le Sancy.

Les marcheurs du petit parcours prennent un sentier près de la ferme de l’Angle. Le vent souffle fort, le brouillard s’accroche au sommet du Sancy. Au fond de la vallée, on aperçoit la Bourboule à 852m d'altitude, station thermale, spécialisée dans le traitement des voies respiratoires et des allergies, qui s'étend le long des rives de la Dordogne enjambée par une douzaine de ponts. Un arrêt pour admirer la grande cascade l'une des plus hautes d'Auvergne de par ses chutes d'une trentaine de mètres. Elle prend sa source sur le plateau de la Durbise à 1450m d'altitude et enjambe une succession d'anciennes coulées de lave d'une quarantaine de mètres d'épaisseur. Passage au creux des Bœufs, un arrêt photo sur un petit pont de bois avec le traditionnel lancé de pierres. Pierrot n’est pas là mais son suppléant assure ! Emmenés par Jean Marc les marcheurs arrivent au Col de la Croix St Robert où se déroule une compétition de planche à roulette. Le brouillard s’accroche au Puy de l’Angle dans la vallée on aperçoit le lac Chambon. Lac de barrage volcanique formé à la suite de l´éruption du Volcan du Tartaret, 60 ha mais peu profond 6 m maximum et parsemé d´îlots.

Partie de cache-cache grandeur nature, le vent joue avec les nappes de brouillard qui s’étirent dans la vallée et enrubannent les sommets d’un flou artistique.

Col du Cuzeau, les deux groupes se retrouvent pour le pique nique. Personne ne s’est égaré ! Le vent bouscule le brouillard qui brouille le paysage. Les marcheurs essaient de s’abriter dans une combe. Le ravitaillement sera rapide. On replie la nappe, On reprend sac et bâton. Les marcheurs continuent chacun leur circuit.

Les marcheurs du petit parcours commencent leur ascension. Le brouillard s’est dissipé. Sur le plateau de Durbise ils sont émerveillés par la beauté du paysage des deux vallées et la découverte du Sancy qui se profile.

 

Les marcheurs du grand parcours s’en vont en direction du Puy de l’Angle 1738 m, principale difficulté de la journée. Un regard sur le Sancy maintenant bien découvert. Le ciel est dégagé on peut admirer les vallées. Découvrir enfin de plus haut les lacs de Guéry et Chambon. Les voici au sommet du Puy de l’Angle, un moment à immortaliser pour le groupe. Liliane à force de volonté a réussi « son ascension ». Elle peut être fière d’y être arrivée.

Toujours sur les chemins de crête, le groupe a franchi les sommets du Puy de Barbier 1702m, Puy de Monne 1672 m et Puy de la Tâche d’où s’élancent quelques ailes. Au fond à gauche, on aperçoit le lac de Guéry, à droite le lac Chambon.  Après avoir cheminé, grimpé, sué, une belle embellie dévoile aux marcheurs du petit parcours la vallée du Mont Dore et le Sancy, impressionnant, dans toute sa splendeur. Le puy de Sancy 1886 m est le point culminant des monts Dore. Son éruption s'est faite sur le versant sud entre 1 et 0,2 millions d’années, période à l'issue de laquelle il atteignit vraisemblablement l'altitude de 2 500 mètres. Des éboulements massifs se sont produits par la suite puis l'érosion, en particulier glaciaire, a fini de façonner son sommet.

Les plus courageux vont en faire l’ascension. Il faut faire vite le brouillard revient. Bien installés paressant ou jouant à la belote les autres marcheurs attendent leur retour.

Regroupés, tous redescendront par les pistes de ski pour arriver à la station du Mont dore où le car les emmènent retrouver les marcheurs du grand parcours qui reviennent par le GR4E jusqu’au lieu dit « Prends-toi-garde » en passant par la cascade de Queureuilh à 1030 M d’altitude. De plus de 30m de haut, elle déverse l'eau du ruisseau de l'Enfer. Mais il est temps de laisser l’Auvergne pour la Loire. Oublions une météo maussade, pour ne garder que le souvenir des beaux paysages de notre randonnée et les bons moments passés tous ensemble.

Bêtisier

Repérage

Nous vaillants guides s'étaient dévoués pour le repèrage, mais eux ils avaient eu du soleil et de la chaleur ..............

Texte Chantal       Photos - Chantal - Dominique - Florent - Jeannot - Pierrot

 


 PONT D'ARC - VOGÜE ARDECHE "ENSOLEILLEE" samedi 17 et dimanche18 mars 2012

Le repérage a été réalisé par nos 4 mousquetaires qui étaient 5 comme les 3 d'Alexandre Dumas étaient 4, vous suivez ? Mais si comptez bien et ne le répétez pas le soir ils ont joué au 4 2 1. 

Pierrot a essayé de se forger une nouvelle réputation et leur balisage est certes artistique mais aussi destructeur

Départ sous un ciel sympathique qui donne le sourire et petit déjeuner à Montélimar où nos randonneurs laissent leurs nougats au repos, mais affutent leur langue avant de remonter dans le car.

Le pique-nique à midi fut placé sous les hospices de L'idole (prononciation allemande) des Pierrots

En début d'après midi commencent les choses sérieuses, après conciliabule, répartition des rôles et point géographique, avec le départ du grand circuit

Départ sans problème car on commence par admirer le paysage  d'en haut et prendre le chemin en descente jusqu'à l'Ardèche.

Arrivée au bord de l'Ardèche près de l'arche un temps de repos pour trois grâces pour admirer le site. Mais qui précisera à Henry qu'il ne faut pas bombarder Fanny mais l'embrasser. N'ont-ils pas fier allure nos randonneurs qui vont repartir pour continuer leur circuits sur l'autre rive.

Mais évidemment pour rentre quand on a raclé les gorges il faut monter et même si on admire le paysage en grimpant une pose donne toujours le sourire

Ceux qui ont opté pour le petit circuit commencent par descendre en car jusqu'au bord de l'Ardèche et, les mains dans les poches pour certains, vont admirer l'Arche et en profite pour échanger leurs impressions après la photo de touristes.

Mais ils n'ont rien perdus pour attendre, avec un sentier long, montant, malaisé, éreintant et suant. Heureusement on peut parfois admirer le paysage en montant ou jouer à cache cache derrière une arche miniature.

Une fois le sommet atteint la vue est impressionnante même si l'horizon est brumeux. Mais que voit-on en bas sur la plage ? Une longue procession de randonneurs.

Le retour et l'arrivée furent l'occasion de voir se dessiner des sourires de soulagement, de contournements prudents de marches et de figures libres de la danse des bâtons. Tout ce monde a rejoint sans problème le bus.

Après le pot de bienvenue, la soirée placée sous la protection de saint pierrot (je l'ai dit qu'il s'était forgé une nouvelle réputation) fut l'occasion d'agapes (raisonnables) et de longues discussions.

N'ont-ils pas tous de bonnes mines réjouies de se retrouver entre amis après une si belle ballade. Vivement demain qu'on recommence

Un peu de sérieux maintenant pour le débriefing, c'est sérieux même si Jean Marie est d'humeur facétieuse. Tous (ou presque, mais on ne dénoncera personne la photo est antérieure au speech du président) sont attentifs, car Dominique annonce le programme du lendemain ........ enfin si le temps le permet  !

Avant le petit déjeuner un œil sur la météo qui annonce une brumisation gratuite pour tous (c'est excellent pour le visage). Cela ouvre l'appétit pour un petit déjeuner chaud et consistant. Puis rassemblement sur la place où les platanes évitent de faire de l'ombre pour un concours d'élégance .........

Le départ du Grand Circuit (ou presque on verra par la suite) a lieu effectivement sous la pluie, mais " pluie du matin n'arrête pas Randonneur de 2 Rives sur les chemins" (pensez ils ont l'habitude de croiser l'eau sur le pont). Cela désoriente un peu les GPS et les adeptes du petit circuit ont pu prendre en photo ceux du grand ......................... qui rebroussaient chemin pour se remettre dans le bon sens

La suite de la balade fut moins mouillée, il fut même possible d'apercevoir le paysage et inutile de s'abriter dans les grottes artificielles. L'arrivée à midi à La Beaume s'est faite sans capuche mais certains demeure inquiets pour la suite et décision fut prise d'écourter le circuit et de ne pas reprendre la marche après le repas de midi.

Pour les adeptes du Petit Circuit, ce ne fut pas un chemin de croix mais le randonneur anonyme respecta un instant de supplique pour que la pluie cesse mais "que votre volonté soit faite".  R

Regardez bien les dernières photos la supplique a été efficace car les capuches sont enlevées et certain a même besoin de mouiller son mouchoir.

C'est une tradition les photographes R2R sont à l'affut des bizarreries tout au long des chemins : animaux, sculptures et assemblages, voitures à un ou deux chevaux, concept car préparé pour le prochain salon du 4X4

 

Et quand tout le monde fut rassemblé à La Beaume une démonstration de culturisme fut organisée pour le plus grand plaisir de tous et surtout des photographes. Mais c'est vrais qu'ils ont fière allure les Retraités des 2 Radées.

L'après midi fut consacré à la visite de Vogüé

Cf. Wikipédia : "Le village de Vogüé est classé comme étant un village de caractère et une station verte. Le château de Vogüé domine le village situé au bord de l'Ardèche. C'est un château fort médiéval réaménagé au XVIIe siècle. Il présente des salles historiques, une chapelle romane, des sous ainsi qu'un cachot et un jardin suspendu. C'est un monument historique privé et tout en étant un lieu chargé d'histoire, il accueille également dans ses murs des expositions temporaires d'arts plastiques. La Tourasse, au centre du Village est l'une des premières demeures des Vogüé. La rue des puces, une des rues les plus étroite de France. L'église Sainte-Marie succède à un prieuré bénédictin datant vraisemblablement du XIe siècle. La paroisse relevait des bénédictins jusqu'à la Révolution. Le prieuré et l'église furent fortement éprouvés pendant les guerres de religion. Une pierre en façade porte la date de 1691, année où l'église fut entièrement reconstruite par les villageois avec l'aide de leur seigneur qui a apposé son blason sur la face sud du clocher. Le bâtiment consiste en une nef fermée par un chœur de même largeur où se trouve le caveau des seigneurs de Vogüé."

Quoi de mieux qu'une visite culturelle pour ne pas marcher idiot.

Secs et contents n'ont-ils pas l'air de vrai touristes, vous savez ceux qui, selon une définition célèbre, font des milliers de kilomètres pour se faire prendre en photo ..................................................devant un car.

Alors bravo à tous les participants, merci aux organisateurs, préparateurs et guides. Et rendez-vous en septembre pour un moment aussi convivial, mais avec le soleil en plus.

 

Texte Guy d'après les informations de Dominique et Michel Peyron, photos : Dominique, Florent, Guy Badel, Jean Bachelard, les Michel Chantre & Peyron, Roger Manus (je n'ai jamais eu autant de choix pour les illustrations)

  haut de page


 Chez nos voisins et amis de Sorbiers   Dimanche 19 février 2012

Marche de Sorbiers organisée par Philippe le 1er guide du Club des 2 Rives .

7 Randonneurs des 2 Rives et une amie au départ pour encourager nos amis Sorbérans.

deux petites au pied d'un grand (et gros)

 Belle balade , malgré la 'gadoue ' dans les sous bois encore enneigés , verglacés

Avec quelques menhirs modernes remarquables qui valent presque les alignements de Carnac

A mi-parcours le groupe se divise en 2 , l'un pour terminer les 14,5 kms et l'autre 19 kms , et se retrouver à l'arrivée pour le traditionnel plat chaud 'saucisses / lentilles ' .

 

800 marcheurs ont pu l'apprécier. Belle affluence pour le ' Club des petits Clous ' de 24 licenciés qui étaient venus participer à notre marche de novembre 2011

Texte d'après les indications de Jeannot B                       Photos Jeannot B

  haut de page


 Barrage de Ternay    Dimanche  09  16 octobre 2011

Le 09 la météo avait décidée de nous faire annuler la sortie, mais grâce à la bonne volonté de deux nouveaux guides (d'un jour ?) c'est finalement un groupe de 12 marcheurs qui partirent le 16 sur le parcours prévu.

                             7 dames  et ...............................................................5 messieurs

                  

( non 6 car Mr Soleil était avec nous ) pour passer du Bon Temps en faisant le tour du lac .

Le barrage a été édifié en 1867. Depuis il sert de retenue d’eau potable pour la ville d’Annonay toute proche. Niché dans un écrin de verdure, ce plan d’eau de 32 hectares pour 35 m de profondeur maximum est entouré de nombreux cèdres du Liban et de quelques séquoias.

A 13 h pause déjeuner ,

rien ne manquait (apéro , cabernay d'Anjou , Cahors , café , pousse café.......)

14 h c'est reparti , sentiers , sous bois , traversée de hameaux hors du temps , puis arrêt 'pomme ' , avant de rejoindre Eteyze ce village très accueillant .

  

 

Pas de variante , pas de perte , 12 ( 13 ) à l'arrivée grâce à nos supers guides du jour Jo, Michel et Alain.

 

Merci à Suzanne pour le compte rendu et à Jeannot, Jo et Michel pour les photos

  haut de page


 Les Aravis        Samedi 18 et dimanche 19 juin 2011

Rien n’aurait pu décourager les randonneurs des 2 rives ce 18 juin 2011, surtout pas une météo pessimiste. Sept heures pétantes dans le car, nous voilà partis pour saint Jean de Sixt  en Savoie.

12 heures arrivée au village vacances sous une pluie battante

Repas de midi, piquenique pris à l’abri dans une salle gentiment ouverte pour nous ; la joie et la convivialité régnaient malgré le temps maussade

13h30 rando ou pas rando ? Les plus téméraires n’hésitent pas pour enfiler la tenue de pluie,

et heureusement car cette dernière cessa pour laisser place à un paysage sublime ; merci à nos guides pour cette superbe balade organisé en deux groupes; enjamber les torrents, en s’entraidant,

un peu de boue certes, mais un beau panorama vu de la croix de Colomban (1691m) nous attendait ;

ensuite arrivés au relais télé ce fut  la vue surplombant le village de la Cluzat ; tout ça valait bien cette grimpette.

Ceux restés   l’après midi à l’hôtel  ont eu des regrets de ne pas être venus. Les émotions ont été partagées le soir au repas, très copieux et apprécié

Une pluie battante pour le lever le dimanche matin, un petit air frisquet, et il a même neigé sur quelques sommets environnants.

Mais après le copieux petit déjeuner (sous forme de buffet) le soleil est revenu.

Au programme, à nouveau deux itinéraires :

 « un dur » car le groupe a démarré du village de la Cluzat avec de suite 700m de dénivelé même sous forme de marches d’escalier tant la pente fut raide

« un plus doux » le car a laissé le deuxième groupe au petit lac. La marche a évoluée  sur terrain presque plat jusqu’au point de jonction avec le premier groupe

Là, ce fut de la montée raide en lacets

jusqu’au sommet la tête du Danay à 1720m ;

quel panorama grandiose ou le village du Grand Mornant fut visible tout petit tapis au creux de la vallée ; de l’autre se dessinait le col des Aravis, où s’il n’y avait pas eu les nuages, nous aurions pu apercevoir le Mont Blanc.

 

Nous avons  piqueniqué à coté du petit lac, récupération de nos glacières restées dans le car

Deux itinéraires pour le retour, un jusqu’au village de la Cluzat, et l’autre jusqu’au village du Grand Mornant ; des descentes assez raides ou il y a eu quelques glissades à cause du chemin boueux

C’est vers la fin de l’après midi que le car ayant récupéré tout le monde a repris la route de Saint Rambert.

Pour le fun deux photos supplémentaires :

 

Texte : Josiane                          Photos : Josiane & Michel D, Jo W       

  haut de page


 Dimanche 15 mai 2011

Baracuchet - La Grande Pierre Bazanne Longueur 15 Km  Dénivelé 210 m

Quatorze au départ ...

La Grande Pierre Bazanne et la folie des boussoles. Située au sommet des Monts du Forez (Altitude 1394m), cette pierre volcanique se dresse au milieu des landes offre un spectacle surprenant (peut-être un "mont brisé", en orgues volcaniques). 

Pierrot et Dominique en prennent de la hauteur.

Le président ouvre le bal après un diner bien arrosé et quelques bonnes blagues. Twist et madison pour Joëlle et Marie claude.

Une belle journée avec une super ambiance dans un cadre resté intact. Une pensée pour René et merci Bernard pour la Jasserie.

... seize a l'arrivée.

 

Texte J. B.              Photos : J. B. & Pierre B

  haut de page


 MARCHE DE NUIT  Longueur  8 Km  Samedi 07 mai 2011

Ce 7 mai, le ciel se couvre doucement et une petite fraicheur s’installe. Le vent s’invite à notre sortie nocturne.  Malgré tout, 18 oiseaux de nuit se retrouvent à la jasserie du Pilat, notre point de départ .

Abrité au mieux, un pique nique « chaleureux » nous permet d’échanger nos produits régionaux,….familiaux et nos plaisanteries.

Après vérification des équipements (gilets fluos, lampes frontales,…) les lucioles partent pour un circuit d’environ 8 kms.

Une longue chenille fluorescente s’étire dans la nuit. Passage au point culminant du massif du Pilat (1370m). L’émetteur du Crêt l'Oeillon voisine aujourd’hui la croix érigée en 1867, à 1364 m d’altitude.

Les frontières de quatre communes se rejoignent sur ce point précis : Pélussin, Roisey, Véranne et Doizieu. Leurs habitants eurent à coeur de se relayer, et de fournir des attelages de boeufs, pour charrier la croix monumentale et l’ériger au sommet de la montagne.

Depuis la table d’orientation un panoramique s’étale sur la vallée du Rhône éclairée par des milliers de lumières. De jour, nous aurions pu apercevoir les Alpes ! Le retour à la jasserie se fait dans la bonne humeur et sans encombre. Pour certains, c’était une première, ils sont prêts à revenir….marcher sous la lune.

Merci à Florent et aux 2 Pierrots d’avoir choisi cette balade. Nous en redemandons.

Texte Dominique et Photos Pierre B

  haut de page


 BEDOIN       Samedi 09 et dimanche 10 avril 2011

Si notre randonnée Bedoin Montmirail vous était contée, nos gambettes vous diraient combien elles ont arpenté. Certaines plus sensibles à la nature, de rouge se sont fait tatouer

Sur les parcours quelques uns ont parfois râlé dans les dénivelés, d’autres se sont surpassés. Mais, nous avons tous marché pour le plaisir de découvrir ce beau paysage de Provence

Mais commençons le récit par notre voyage en car passé dans la bonne humeur et les chansons. Dirigés, par l’un de nos Pierrot qui n’avait pas oublié son livre de chant, ni son doudou vert aux poils hérissés, nous avons chanté à pleine voix. Premier arrêt Valence, nous avons dégusté la brioche aux pralines de Jean Paul un vrai délice. Merci aussi à l’intendance pour les boissons chaudes. Une courte visite à Vaison la Romaine avant notre arrivée au Florians à Bedoin. Quelques photos, pas le temps de flâner au marché ! Après un pique nique dans le parc du VVF

Nous avons rendez vous avec notre guide local qui nous emmène sur les sentiers au pied du Mont Ventoux

Notre guide nous fait découvrir les cheminées de fée ou demoiselles coiffées habillées d’ocre rouge, décor insolite, pour notre photo de groupe.

Nous grimpons sur des chemins caillouteux, Il fait chaud l’ombre est rare. Pierrot toujours farceur nous asperge avec son pistolet à eau. Puis, le groupe se scinde en deux. Nous nous retrouverons plus tard au village de  Sainte Colombe où l’eau de la fontaine rafraichira le deuxième groupe assoiffé.

De l’eau …trop froide !

Un puits sans seau ! 

L’après midi s’étire, notre guide a peut être surestimé nos capacités, quelques kilomètres supplémentaires, la fatigue se fait sentir. Nous avons hâte de rentrer au VVF où nous attendent des chambres coquettes et surtout une bonne douche. Nous nous retrouvons au restaurant, Pierrot nous attend, en star, portant lunettes en clé de sol et tenant son doudou en laisse. Le repas du marcheur : soupe provençale, spaghettis bolognaise, pâtes crème lardons est le bienvenu pour nous remettre en forme et nous préparer à la randonnée du lendemain. Dimanche matin, après un copieux petit déjeuner tout le monde est prêt à reprendre le car qui nous laisse au Village d Suzette pour une randonnée autour des dentelles de Montmirail.

Montmirail vient du latin mons mirabilis qui signifie « mont ou montagne admirable ». Les dentelles forment un grand arc montagneux qui s'étend de l'Ouvèze au mont Ventoux. Dans la plaine, une route parcourt les dentelles : la route des vins, vignobles réputés des Côtes du Rhône sud. Majestueuse, imposante, la barrière des dentelles de Montmirail découpe aujourd’hui ses crêtes dans le ciel bleu. Deux groupes se forment, l’un encadré par Dominique et les Pierrot, l’autre par Florent et Jean Marc. Nous nous retrouverons tous pour le pique nique dans la propriété d’un vigneron qui nous offre l’hospitalité.

Photo de groupe avant le départ, qui cherche ses bâtons, son chapeau ! On se sépare à nouveau pour se retrouver à l’arrivée à Suzette. A l’embranchement d’un chemin, nous rencontrons un nouveau guide «Le Chien randonneur qui nous accompagne jusqu’à la Chapelle St Christophe. Les plus courageux grimpent le sentier qui y conduit.

Photo humoristique sous la pancarte de la porte Nous laissons le deuxième groupe qui arrive. Le chien randonneur rebrousse chemin pour retrouver sa maison. Nous continuons sur une petite route au milieu des vignes

Pour arriver au village de Lafarre, où nous nous rafraichissons à la fontaine et remplissons nos bouteilles. Florent et Jean Marc étudient leur carte pour trouver le bon chemin … un bon raidillon nous attend,

Sous l’effort le pas est lourd et dérape parfois sur la pierraille. On pousse sur les bâtons, un peu d’ombre, on souffle un peu. Le soleil tape fort on rentre dans les sous bois « pause pomme »…Puis demi tour, ce n’est pas le bon chemin. On retrouve le croisement « de la bouteille » pour repartir dans la bonne direction. Derniers kilomètres sur une petite route escarpée. Le premier groupe n’est pas loin mais pas question de se faire rattraper ! La pancarte annonce le village de Suzette…

Nous envahissons le seul bar en terrasse ou chacun cherche une place entre ombre et soleil. Le garçon est débordé par les commandes. Le patron a du être content de sa recette. Un dernier regard sur le Ventoux

La randonnée a été belle. Nous retrouvons le car, la fatigue se fait sentir, les têtes dodelinent et le silence s’installe. Nous passons les villages aux vins réputés Gigondas, Qeyranne, vaqueyras direction Bollène.

St Rambert d’Albon nous nous installons sur l’aire de pique nique. Avec grande convivialité nous partageons le sucré salé, l’apéro, le bon vin et la verveine maison pour garder le souvenir d’une belle escapade. Nous ne pouvons que remercier nos guides Dominique, Florent, Jean Marc, Les Pierrot toujours attentifs aux uns et aux autres, soucieux de nous amener à bon port en attendant une prochaine randonnée.

Texte Chantal, Photo  Chantal, Jeannot, Jo, les Michel, les Pierrots


 

   haut de page